Voici ce qu’a dit Vladimir Poutine l’autre jour et qui fait tant de bruit… trois jours après.
« Les curateurs occidentaux ont placé un homme - un juif ethnique, avec des racines juives, avec des ancêtres juifs - à la tête de l'Ukraine moderne. Et de cette manière, à mon avis, ils dissimulent en quelque sorte l’essence anti-humaine qui est à la base de l'État ukrainien moderne. Cela rend toute cette situation extrêmement dégoûtante, car un juif ethnique couvre la glorification du nazisme et couvre ceux qui ont mené l'Holocauste en Ukraine en leur temps, c'est-à-dire l'extermination de 1,5 million de personnes. »
Puis il a ajouté que ce sont les citoyens ordinaires d'Israël qui comprennent le mieux cette situation : « Regardez ce qu'ils disent sur Internet. »
Le Quai d’Orsay a réagi aujourd’hui, par la voix de Catherine Colonna, en débitant des borborygmes. Auxquels a remarquablement répondu Monique Plaza.
Commentaires
A ce compte-là, les Rothschild et autre Soros sont aussi les boucs-émissaires de la politique de destruction de l'Occident conduite par l'oligarchie financière. Et Albert Bourla une malheureuse victime collatérale de la "vaccination" imposée aux populations par les "curateurs occidentaux".
Je conçois que ce genre de théories séduisent les Israéliens.
Poutine est très proche des fanatiques juifs, les loubavitch.
Le régime soviétique est indéfectiblement lié dans sa victoire et ses atrocités jusqu'au revirement de Staline à des membres de la communauté juive qui ont fournis les gros bataillons de l'encadrement du bolchevisme. Il reste donc lié par le sang y compris son successeur russe à une complicité avec ces bandes criminelles, la haine du christianisme, le silence sur les crimes de l'autre en échange du même silence sur ses propres crimes.
Même si certains délirants comme un certain prêtre, issu d'ailleurs de la communauté, prétendent ne voir que des victimes juives quand c'était surtout ceux qui étaient assimilés à la révolution et aux crimes bolcheviques qui étaient visés, les crimes et la défense de la révolution bolchevique ont poussés à inventer le concept dialectique d'anti fascisme, propagé d'ailleurs par un juif allemand, Willy Munzenberg, afin de sidérer, diaboliser et faire taire toute remise en cause de la pratique révolutionnaire.
Complicité, interdiction de la critique et recherche historique, victimisation, cela pousse quand même à la prison ou à l'expatriation ceux qui manifestent la moindre réserve au dogme.
Nous en sommes encore là avec Poutine qui, certes, joue sur du velours avec cette double accusation, nazisme et antisémitisme, mais ça en reste une escroquerie intellectuelle.
Les crimes du bolchevisme sont spécifiques, ceux du national socialisme aussi, ils ont une parenté certes mais qu'un oligarque juif fasse monter et crée des clubs de supporters devenus partis politiques puis régiments d'inspiration nationale socialiste devrait quand même éveiller quelque méfiance.
Maintenant, je le redis, Poutine utilise les arguments qui tuent pour les besoins de sa cause, à un moment ou Zelensky fait semblant de lutter contre la corruption en emprisonnant son mentor qui a créé les mouvements proprement nationaux socialistes.
Personnellement, face à l'accusation sidérante, je me tiens soigneusement à l'écart, pas concerné.
Je commence la lecture de "l'antisémitisme, son histoire et ses causes." de Bernard Lazare.
Quoique juif anarchiste, il commence très fort et bat en brèche la légende victimaire qui nous obligerait à la soumission aux diktats de la communauté auto élue.
Faire accomplir ses forfaits les plus ignobles par d'autres qui porteront le chapeau, c'est une stratégie remarquable. Se faire passer pour éternelle victime comme moyen d'imposer une pointilleuse tyrannie, c'est encore plus fort. Avec la déclaration que vient de faire Poutine, on est encore un cran au-dessus : les juifs les plus ignobles, puisqu'ils sont juifs, c'est que les méchants antisémites ont fait exprès de les mettre là où ils sont pour pouvoir les accuser d'être ignobles parce qu'ils sont juifs.
Eh, stop ! Là, je cale...
Allez un petit commentaire sur les câlineries à venir avec les Nord-coréens ? Ils sont sympas les copains de votre idole…
Que Cajetan se targue d'une entourloupe de ce niveau ne vaudrait pas la peine d'être relevée, mais elle reflète une bassesse qui doit être reprise.
Je ne puis que souscrire à l'analyse de ce plus grand chef d'État de ce début du 21ème siècle, qu'est le Président Vladimir V. Poutine !
Le général De Gaulle, le plus grand chef d'État français depuis Richelieu, savait très bien que les États n'ont pas d'amis (je n'ironise même pas sur "l'ami américain") mais des intérêts ; le même grand homme à propos des juifs et d'Israël (conférence de presse du 27 novembre 1967 à l' Élysée) :"Certains même redoutaient que les Juifs, jusqu'alors dispersés, mais qui étaient restés ce qu'ils avaient été de tout temps, c'est à dire un peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur, n'en viennent, une fois rassemblés dans le site de leur ancienne grandeur, à changer en ambition ardente et conquérante les souhaits très émouvants qu'ils formaient depuis 19 siècles : l'an prochain à Jérusalem."
Le géant de la littérature russe, combattant lors de la grande guerre patriotique, et qui a aussi connu les camps lénino-staliniens, absolument pas antisémite, ni asémite, comme d'ailleurs ne le sont pas les Peuples de Russie qui, il faut le rappeler, accueillaient la moitié des juifs du monde entier à la veille de la révolution bolchévique, a consacré un millier de pages exceptionnelles sur la période 1795-1995 décrivant la relation des juifs et des russes : deux siècles ensemble ; Alexandre Soljénitsyne s'est basé sur les archives juives de Russie et d'Israël. D'A.S., je retiens quelques citations de juifs russes ou non, parmi des milliers d'autres Sonya Margolina, juive de la diaspora : il y a dans cette histoire des pages que l'on ne peut ouvrir sans frémir. Et ce sont précisément ces pages qui ont été sciemment et systématiquement occultées dans la conscience des juifs. Stefan Zweig, juif autrichien : le Juif se doit se sacrifier son amour-propre au profit du peuple juif tout entier...le Juif doit se limiter, se retenir...non pas se tenir de côté. A Voronel, juif israélien : nous avons découvert l'injustice dans les fondements des société existantes, mais notre irresponsabilité en tant que minorité a contribué à créer des injustices nouvelles bien pires.
Le géant de la littérature russe, combattant lors de la grande guerre patriotique, et qui a aussi connu les camps lénino-staliniens, absolument pas antisémite, ni asémite, comme d'ailleurs ne le sont pas les Peuples de Russie qui, il faut le rappeler, accueillaient la moitié des juifs du monde entier à la veille de la révolution bolchévique, a consacré un millier de pages exceptionnelles sur la période 1795-1995 décrivant la relation des juifs et des russes : deux siècles ensemble ; Alexandre Soljénitsyne s'est basé sur les archives juives de Russie et d'Israël. D'A.S., je retiens quelques citations de juifs russes ou non, parmi des milliers d'autres Sonya Margolina, juive de la diaspora : il y a dans cette histoire des pages que l'on ne peut ouvrir sans frémir. Et ce sont précisément ces pages qui ont été sciemment et systématiquement occultées dans la conscience des juifs. Stefan Zweig, juif autrichien : le Juif se doit se sacrifier son amour-propre au profit du peuple juif tout entier...le Juif doit se limiter, se retenir...non pas se tenir de côté. A Voronel, juif israélien : nous avons découvert l'injustice dans les fondements des société existantes, mais notre irresponsabilité en tant que minorité a contribué à créer des injustices nouvelles bien pires.