Ceci est l’entrée du ghetto LGBT de Nice. Il y a trois policiers en faction pour protéger cette œuvre d’art, « pendant que dans le quartier des Moulins, des dealers tirent à balles réelles avec des kalachnikov », comme le souligne Sabine Faivre sur Boulevard Voltaire.
Commentaires
La référence au ghetto est excessive, si la communauté de lumière est très présente dans les tenants de l'idéologie de la déconstruction et en Israël, tous les invertis ne font pas partie pour autant de la communauté de lumière.
Il suffit de regarder les cadres supérieurs du RN pour s'en convaincre.
Le ghetto, oui c'est bien comme idée. Un ghetto ça se boucle.
Le ghetto tire, comme chacun le sait, son nom d'un quartier juif de Venise où l'on ne sait pas trop qui, des juifs ou des Vénitiens, a tenu à ce qu'il y ait séparation. Avant Amsterdam et la City, ce fut la première grande place financière mondiale.
Amha, ce sont les Vénitiens qui devaient avoir interdiction d'entrer dans le Ghetto et non les juifs d'en sortir.