Gardasil

Le 1^er mars, Macron est allé dans une école pour annoncer une campagne de vaccination généralisée des enfants de 5^e à la rentrée prochaine contre le « papillomavirus » avec le Gardasil de Merck.

Or une action judiciaire collective est en cours aux Etats-Unis contre Merk en raison des effets secondaires du vaccin.

L’action judiciaire collective fédérale (class action MDL) a été acceptée en août 2022 et confiée à un juge de Caroline-du-Nord, malgré l’opposition de Merck qui tentait de faire valoir que c’était contraire aux lois fédérales sur les vaccinations et que c’était promouvoir le doute sur les vaccins.

Or le moins qu’on puisse dire est qu’il y a un doute sur le Gardasil. Voici des extraits du site de l’action collective américaine.

Avant et après l'approbation de Gardasil en 2006, Merck a lancé une campagne de marketing massive pour créer une demande pour son vaccin contre le VPH. Avant Gardasil, la demande de vaccin contre le VPH était faible, voire inexistante, et le VPH n'a jamais été considéré comme une urgence de santé publique. Pour assurer le succès financier de son nouveau vaccin, Merk a précédé la sortie de Gardasil d'une coûteuse campagne de marketing de "sensibilisation à la maladie" du VPH. Cette campagne de marketing a grandement exagéré les risques sanitaires du VPH.

Merck a lancé une campagne de sensibilisation à la maladie pendant des années pour faire craindre aux gens le VPH et le cancer du col de l'utérus, malgré l'absence d'urgence de santé publique dans les pays à ressources élevées comme les États-Unis. Avant l'approbation de la FDA, Merck a utilisé sa campagne de marketing pour créer un marché pour son vaccin à partir de rien, tout en s'engageant simultanément dans une campagne de propagande répugnante visant à effrayer et à culpabiliser les parents qui n'ont pas vacciné leurs enfants avec le Gardasil.

Merck a commercialisé agressivement le Gardasil comme un vaccin miracle, le proclamant faussement "vaccin contre le cancer du col de l'utérus".  Le message de Merck était que le cancer du col de l'utérus est un tueur réel de jeunes femmes, malgré le fait que l'âge moyen pour le développement du cancer du col de l'utérus est de 50 ans et que le cancer est pratiquement inexistant chez les femmes de moins de 20 ans.

Merck a également tenté de rendre le vaccin Gardasil obligatoire pour tous les écoliers en utilisant des tactiques alarmistes et en offrant des incitations financières aux législateurs. Merck a mobilisé des dizaines de groupes de pression payés pour faire pression en faveur d'une obligation de vaccination contre le VPH. Merck a apporté d'importantes contributions aux campagnes politiques et aux organisations législatives pour faire avancer son programme, et plusieurs États ont adopté des lois autorisant les préadolescents dès l'âge de 12 ans à "consentir" à la vaccination contre le VPH sans le consentement ou la connaissance des parents.

Une étude publiée en 2020 a été la première à établir un lien entre l'insuffisance ovarienne prématurée [ménopause précoce] et le vaccin Gardasil, sur la base d'un nombre disproportionné de rapports d'effets indésirables du vaccin. Cette constatation a ensuite été confirmée dans une autre étude publiée en mars 2022 dans Drugs Real World Outcomes.

Dans les années qui ont suivi la mise sur le marché du Gardasil, la recherche médicale a révélé que le Gardasil pouvait induire des troubles auto-immuns chez un certain pourcentage de patients.

Diverses études scientifiques ont établi un lien entre le Gardasil et les maladies auto-immunes suivantes : Syndrome de Guillain-Barré, Intolérance orthostatique, Neuropathie des petites fibres, Polyneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC), Lupus érythémateux systémique, Sclérose en plaques, Pancréatite auto-immune, Hépatite auto-immune.

Le Gardasil a également été associé à une multitude d'autres problèmes de santé étroitement liés aux maladies auto-immunes. Il s'agit notamment de la fibromyalgie, de la dysautonomie, du syndrome de fatigue chronique, du syndrome de douleur régionale chronique, du syndrome d'encéphalite, du dysfonctionnement autonome et des douleurs articulaires.

Certains se demanderont non seulement pourquoi il faut vacciner des filles de 11 à 13 ans contre un virus qui se répand lors des contacts sexuels et qui peut provoquer un cancer qu’elles n’auront presque certainement jamais, au risque de contracter une grave maladie et de devenir stériles (tiens, comme avec le vaccin covid), mais aussi pourquoi il faut vacciner les garçons. C’est qu’à cet âge-là on n’a pas encore choisi son orientation sexuelle, et que si, comme on l’espère, les garçons s’enrôlent dans les rangs LGBTQIA+, le papillomavirus peut leur provoquer un cancer de l’anus…

La seule raison d’empoisonner les enfants avec le Gardasil est de faire gagner une fortune à Merck, qui n’avait pas pu profiter du pactole du covid (370€ les trois doses nécessaires).

Outre l’action collective centralisée en Caroline-du-Nord, d’autres procédures ont été initiées. Dont beaucoup en Californie. Pour coordonner le tout, il a été décidé de reporter le procès en 2024.