Dans le cadre du « Mois de sensibilisation au cancer de l’utérus », le ministère de la Santé de l’Etat de Washington a fait savoir sur son compte Twitter : « Les personnes transmasculines qui ont un utérus doivent parler avec leur médecin de la radiographie contre le cancer de l’utérus et la vaccination contre le papillomavirus ».
Car les hommes qui ont un utérus ont un risque de cancer plus important que les femmes (celles qui n'ont pas de pénis, évidemment), d’où l’importance d’une détection précoce, précise le ministère.
De fait, une étude officielle américaine de 2017 a conclu que « la cancérogénicité de la thérapie hormonale chez les personnes transgenres est un sujet de préoccupation considérable » et qu’en outre « les préoccupations concernant le risque de cancer chez les patients transgenres sont liées aux infections sexuellement transmissibles, à l'exposition accrue à des facteurs de risque bien connus tels que le tabagisme et la consommation d'alcool ».
Une étude britannique de 2019 arrivait également à la conclusion d’une incidence plus élevée de cancer chez les femmes du genre masculin. Deux fois plus élevée, selon une étude universitaire de Boston en 2020, qui ajoutait : « Les chercheurs ont également constaté que, parmi les survivants du cancer, les hommes trans [les hommes avec un utérus] avaient la plus mauvaise santé générale, et étaient neuf fois plus susceptibles de souffrir de diabète et de maladies cardiaques que les femmes cisgenres, sept fois plus susceptibles de souffrir de diabète que les hommes cis, et quatre fois plus susceptibles de souffrir de maladies cardiovasculaires que les hommes cis ».
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« Les chercheurs ont également constaté que, parmi les survivants du cancer, les hommes trans [les hommes avec un utérus] avaient la plus mauvaise santé générale, et étaient neuf fois plus susceptibles de souffrir de diabète et de maladies cardiaques que les femmes cisgenres, sept fois plus susceptibles de souffrir de diabète que les hommes cis, et quatre fois plus susceptibles de souffrir de maladies cardiovasculaires que les hommes cis ».
Cela devient plus compliqué que l'analytique transcendantale.
On n'y comprend rien. Trop compliqué pour moi.