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La dictature "vaccinale" mondiale

La déclaration finale du G20 de Bali est de loin la plus longue de l’histoire du G20. C’est une multi-logorrhée, dont les plus interminables développements sont consacrés, sans surprise, au « climat » et à la « pandémie », les deux plus grandes intox du moment. Au milieu du baratin des puissants qui se vantent de sauver la vie des humains à coup de piqures, on note une indication qui n’est pas anodine : le projet, pour les « futures pandémies », d’un passe vaccinal mondial, sans lequel tout voyage à l’étranger sera impossible, en s’appuyant « sur le succès des certificats numériques COVID-19 » (à savoir notamment le passe sanitaire européen), et cela « pour faciliter les voyages internationaux fluides ». Sic. Voici le texte, assez alambiqué pour qu’on ne le remarque pas dans les 80.000 caractères de la déclaration en 52 points (c’est la fin du point 23), mais qui est sans ambiguïté si l’on y fait attention :

Nous reconnaissons l'importance des normes techniques et des méthodes de vérification partagées, dans le cadre du RSI (2005), pour faciliter les voyages internationaux fluides, l'interopérabilité et la reconnaissance des solutions numériques et des solutions non numériques, y compris la preuve des vaccinations. Nous soutenons la poursuite du dialogue international et de la collaboration sur la mise en place de réseaux mondiaux de confiance en matière de santé numérique dans le cadre des efforts visant à renforcer la prévention et la réponse aux futures pandémies, qui devraient capitaliser et s'appuyer sur le succès des normes existantes et des certificats numériques COVID-19.

Commentaires

  • Merci pour votre vigilance sans faille.
    J'espère que les dictateurs nous interneront dans le même camp de concentration, nous pourrons ouvrir les yeux des autres co-détenus et fomenter une évasion massive.

  • Sauver la planète par la grande faucheuse vaccinale mondiale ou vaccino-extinction humaine, parrainée par les fossoyeurs du G20 et du B20 avec la bénédiction du « druide » en habit blanc de Sainte-Marthe.

  • C'est comme le chien qui fait pipi sur le tapis... Si on ne lui met pas le nez dessus avant de lui taper sur la truffe avec un journal, il continuera de faire pipi sur le tapis. Bien entendu, cette métaphore a ses limites : les chiens sont devenus nos maîtres, si tant est qu'ils aient jamais cessé de l'être. Et il ne s'agit plus de leur taper sur la truffe avec un journal Il faut les estrapader, les écarteler, les couper en deux dans le sens de la longueur à la scie circulaire.

  • Ou comme cet empereur de Chine (Yongle ?), avec le premier ministre de son prédécesseur qui l'avait traité d'usurpateur : faire exécuter toute leur famille sous leurs yeux avant de les couper en deux.

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