En ouverture de la session parlementaire hongroise, Viktor Orban a prononcé un nouveau discours virulent sur les sanctions contre la Russie, qui se sont retournées contre les peuples d’Europe, lesquels doivent payer « une surcharge de sanctions » et s’appauvrir pour une guerre qui ne les concerne pas, une guerre locale qui a été transformée en guerre économique mondiale.
Et il a annoncé un référendum sur la question :
« Les sanctions ont été décidées de façon non démocratique. Ce fut une décision des bureaucrates de Bruxelles et de l’élite européenne, pour laquelle ce sont les peuples qui payent maintenant. Nous avons besoin de connaître l’opinion du peuple en ce qui concerne les sanctions. Pour la première fois en Europe, en Hongrie nous allons demander l’opinion du peuple en ce qui concerne les sanctions. Une consultation nationale va être lancée. Le peuple hongrois pourra exprimer son opinion, s’il les soutient et s’il est favorable à ce qu’il y en ait de nouvelles. »
Commentaires
Merci à Viktor Orban de respecter la volonté de son peuple à l'heure où dans nos pays dits "démocratiques", celle-ci est complètement bafouée
C'est exactement ce qu'il faudrait faire dans chaque pays d'Europe. Mais en France, nous avons le cerveau tellement lavé par les médias et les intimidations de Zelenski que nous n'oserions pas répondre selon nos vrais sentiments !
Orban est vraiment un grand leader !
Très adroit de sa part : comment dire à L'Europe que les sanctions ne servent à rien sans passer pour LE méchant de la bande ! Cela dit la folle de la commission sortira son fouet contre les affreux fascistes qui votent mal, parce que le résultat du referundum ne fait pas de doute ...
La dernière fois qu'il y a eu un referendum chez nous, le nommé Sarkozy s'est assis dessus. Je ne dirai jamais "vox populi vox Dei", parce que nous sommes dans un ailleurs, dans un au-delà de ce genre de procédure...
Il y a un ordre politique : la cité humaine à l'image de la Cité divine, telle qu'incarnée par la monarchie française à son sommet (Saint Louis), a été remplacée en 1789 par la foule excitée par les Pharisiens à vociférer ses blasphèmes au pied du Prétoire. On a trouvé pire : les Pharisiens sont déterminés à gouverner sans la foule et à l'exterminer.
J'ai volontairement glissé une faute de syntaxe là-dedans, car j'écris le français en homme libre. Si Fidelis Montaignac la trouve, c'est qu'il est moins con qu'il en à l'air !
c'est qu'il est moins con qu'il n'en à l'air !
Dauphin, vous êtes impayable !