Lors de l’épidémie de grippe aviaire (H1N1) en 2009, nos poules devaient rester confinées ou… être abattues. Beaucoup d’entre nous ont abattu leur basse-cour sous les menaces de sanctions financières. Je me souviens avoir refusé ces brimades et bravé les interdits en annonçant que si nous acceptions, bientôt c’est nous que nous confinerions sous les mêmes prétextes fallacieux… J’étais cependant loin d’imaginer qu’ils oseraient et surtout que nous accepterions !
Onze ans plus tard… au mieux l’homme est traité comme un animal, au pire comme une maladie de la terre. Cette gradation dans l’hérésie pagano-écologiste vise à détruire l’homme et finalement la Création tout entière.
Ceci est extrait d’un excellent billet de Stéphanie Bignon, à déguster intégralement.
Commentaires
La corrida et les poulets ! Il est vrai que pour nos maîtres nous sommes des poulets qu'il faut empêcher de devenir des taureaux.
Les artistes de Lascaux et avant eux ceux de la grotte Chauvet se passionnaient pour l'animalité : le plus proche et en même temps le plus lointain. Le matador a quarante minutes pour montrer qu'il est non seulement plus intelligent mais aussi plus courageux que la bête courageuse. Quand la bête est très courageuse, voire intelligente, et le matador aussi intelligent que courageux, le spectacle peut être, quoique éphémère, aussi grandiose que Chauvet et Lascaux réunis, qui nous viennent du fond des âges. Très rare !
Rien à voir avec l'i. a. et la "grande réinitialisation" !
Le "gène de Dieu", qu'ils voudraient supprimer avec leurs "vaccins", n'existe pas. J'aimerais qu'un bon théologien me dise, à moi qui suis un couard et un mauvais théologien, quelle est la place du courage dans la doctrine du christianisme. Ce pourrait être le "gène de Dieu".