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Comme par hasard

Le premier Français officiellement mort en Ukraine au combat est Wilfried Blériot, 32 ans.

Il avait rejoint début mars la « Légion internationale pour la défense territoriale de l'Ukraine » créée par Zelensky.

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On remarque que la Légion qui se donne rendez-vous au Valhalla lui rend hommage en lui faisant une auréole avec le soleil noir nazi.

Wilfried Blériot faisait partie de la Misanthropic Division, mouvement ukrainien et européen ouvertement national-socialiste.

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Et il portait l’écusson bandériste de Pravy Sektor.

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(D’autres combattants français sont sans doute déjà morts en Ukraine, notamment lors du bombardement du « Centre international pour le maintien de la paix et de la sécurité », la base d'entrainement de l’OTAN à Yavoriv, le 13 mars. On se souvient du témoignage de ce Français qui en avait réchappé et qui parlait de ses copains qui y étaient restés…)

Commentaires

  • Voilà un profil qui doit plaire à Savrolus !

  • Je ne sais pas comment je dois le prendre, mais c'est un profil qui m'inspire une compassion mêlée de perplexité. Je suppose que pour s'engager sciemment aux côtés de combattants qui se réclament du nazisme il faut avoir mal digéré la propagande de l'école de la République. D'un autre côté ce rejet aurait dû s'accompagner chez lui, si c'était un garçon conséquent, d'une analyse critique de l'idéologie comme croyance politique, que ce soit celle des nazis, de ses professeurs d'histoire ou des médias de grand chemin. Tandis que ce pauvre benêt semble avoir rejeté (au moins en partie) la propagande scolaire pour se brancher sur les injonctions immédiates et irréfléchies de Yann Barthès et d'Anne-Sophie Lapix.
    Mais j'ai appris récemment que pour avoir l'heur de faire partie des 30 % de gens qui ne se laisseraient pas piéger par l'expérience de Milgram il faut soit être un paysan de solide bon sens avec les pieds dans le sillon, soit avoir subi un traumatisme dans sa jeunesse, soit être un vrai catholique qui a un peu compris l'enseignement du Christ. Le nec plus ultra étant de participer des trois.
    En tout cas je ne vous appelle pas Roller, alors ne m'appelez pas Savrolus !

  • On peut quand même noter que ses parents l'ont appelé Wilfried. Il doit y avoir un atavisme, dont j'espère qu'il ne remonte pas à Louis.

  • Il laisse 2 enfants en bas âge. Quelle stupidité! Avec un peu de bon sens, il aurait mieux valu qu'il restât auprès des siens pour les former et les protéger de barbarie raciale qui s'installe en France... et qui ne manquera pas d'exploser à court terme.
    On attend un panégyrique de M. Alain Sanders dans Présent pour ce personnage. M. Alain Sanders ne manquera pas d'enjoliver cet anti-héros... comme il a donné écho à cette légende de soldats résistants sur l'île des Serpents..

  • Alain Sanders est pro-américain comme un phoque.
    A le lire, on finit par s'apercevoir que la mesure et la nuance lui sont étrangers.

  • Laissons-lui quand même le temps de publier son avis.

  • Mauvaise cause, le national socialisme, engagement courageux quoiqu'un en pense, paix à son âme même s'il aurait maudit le catholique que je suis.

  • "engagement courageux quoiqu'un en pense"
    On dirait que ces Teutons crétins ont été mis là tout exprès pour la caricature écrabouilleuse, façon marteau-pilon, de la seule nation qui terrorise les mondialistes : la FRANCE. Vous savez que les Anglais distribuaient des couvertures empoisonnées à la variole aux Hurons, pour leur apprendre à vouloir être français ?

  • En regardant un peu plus de sources, j'ai plutôt l'impression d'un homme peu intégré qui a pu subir le matraquage médiatique et penser se réaliser en donnant tout à une cause. Voire en "prouvant" aux siens qu'il était quelqu'un.
    Je ne sais pas s'il vivait avec la mère de son enfant, mais son choix laisse un orphelin.
    Je le redis, paix à son âme.

  • Et c'est le moment où jamais de citer notre ami Tintin : "Dieu ait son âme, mais c'était un rude coquin."
    Je suis assez pressé de sabrer le champagne (ce que je foire deux fois sur trois) avec la joie de sortir cette épitaphe pour Macron, quand il aura été déchiqueté par la foule.

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