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Dans le "Guardian"

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"La Russie est en train de gagner la guerre économique, et Poutine n’est pas près de retirer ses troupes."

"Les effets pervers des sanctions se traduisent par une hausse des prix du carburant et des denrées alimentaires pour le reste du monde - et l'on craint de plus en plus une catastrophe humanitaire. Tôt ou tard il faudra trouver un accord."

On sait que la classe politico-médiatique anglaise est la plus acharnée à défendre l’Ukraine de Zelensky et à condamner la Russie de Poutine. Or cet article paraît dans le Guardian, fleuron de la pensée unique britannique. Sous la signature de Larry Elliott, qui n’est ni un troll russe ni un chroniqueur marginal, mais bel et bien le rédacteur en chef économique du journal.

Commentaires

  • Il termine quand même sur les "atrocités" russes, frein à la reprise de "négociations". Le bon apôtre...Mais les Anglais sont des marchands et des banquiers prêts à vendre leur mère si besoin.
    Pas besoin de négociations: application immédiate des accords de Minsk II.

  • Les accords de Minsk II sont largement dépassés maintenant !!!

    Les Américains, je ne dis rien des Européens qui ne sont que leurs valets, ayant obligé Poutine à envahir l'Ukraine par leur stupidité, il est normal que la Russie veuille se dédommager des morts et des frais causés par leur politique insensée.

    Tout ce qui précède cette guerre devient caduc, nul et non avenu....

  • "Les effets pervers des sanctions se traduisent par une hausse des prix du carburant et des denrées alimentaires pour le reste du monde - et l'on craint de plus en plus une catastrophe humanitaire."
    Ça, c'est la pensée unique ! La catastrophe économique annoncée est due 1° à la gestion calamiteuse de la crise de 2008, à la suite de laquelle on a décidé de sauver les banksters, de privatiser les profits et de collectiviser les pertes, 2° à la spéculation immorale et effrénée des investisseurs qui ne se sentent plus depuis cette date, 3° à la pseudo-pandémie qui a servi de prétexte à ruiner les entrepreneurs au profit des grands trusts tout en dépensant sans compter l'argent des contribuables (700 milliards d'euros rien que pour la France) pour faire passer la pilule : "Et que faisiez-vous au temps chaud ?"
    Tous les indicateurs sont au rouge sang et rien ne permet d'envisager une sortie "raisonnable" de ce marasme, de cette mouise, de ce maelström littéralement apocalyptique.
    Il l'est si littéralement que l'Apocalypse l'avait prévu, comme je l'ai déjà montré ici :
    "Et ces eaux-là, poursuivit l'Ange, où la Prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations et des langues. Mais ces dix cornes-là et la Bête, ils vont prendre en haine la Prostituée, ils la dépouilleront de ses vêtements, toute nue, ils en mangeront la chair, ils la consumeront par le feu ; car Dieu leur a inspiré la résolution de réaliser son propre dessein, de se mettre d'accord pour remettre leur pouvoir à la Bête, jusqu'à l'accomplissement des paroles de Dieu. Et cette femme-là, c'est la Grande Cité, celle qui règne sur les rois de la terre."
    La Grande Babylone, la Prostituée fameuse, la Grande Cité n'est certes pas l'Eglise, contrairement à ce qu'ont affirmé des exégètes protestants, plutôt l'aboutissement de notre Occident chrétien déchristianisé, matérialiste, repaganisé, mondialisé et mondialiste. Ce qui doit nous rassurer, c'est ce passage : "Dieu leur a inspiré la résolution de réaliser son propre dessein". D'un autre côté - et c'est moins rassurant - je ne sais pas si le Fils de l'Homme trouvera encore la foi sur la terre quand il reviendra, mais je ne sais pas non plus combien il y trouvera d'hommes.

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