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Là non plus, ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas

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Fdesouche republie des extraits d’un article de 2017 de Cheryl Benard, intitulé : « En Autriche et ailleurs, les Afghans commettent davantage de crimes que les autres réfugiés. Pourquoi ? »

(…) ll y a une évolution à laquelle on ne s’attendait pas et qui n’était pas tolérable : le phénomène important et croissant des agressions sexuelles commises par des réfugiés sur des femmes locales. Il ne s’agissait pas de “simples viols”, mais d’attaques vicieuses et sans pitié sur des filles et des femmes prises au hasard, souvent commis par des gangs ou des bandes de jeunes hommes. Au début, les incidents ont été minimisés ou étouffés – personne ne voulait fournir à la droite de quoi alimenter l’agitation nationaliste, et l’on espérait qu’il s’agissait de cas isolés causés par un petit groupe de délinquants. Les crimes se sont multipliés, et parce que beaucoup d’entre eux se sont déroulés en public ou parce que le public s’est impliqué, soit en empêchant l’attaque, soit en aidant la victime par la suite, et parce que les tribunaux ont commencé à prononcer de nombreuses sentences au fur et à mesure des procès, ces affaires ne pouvaient plus être balayées sous le tapis du politiquement correct. Et avec la reconnaissance officielle et les rapports publics, une note de bas de page étrange et déroutante est apparue. La plupart des agressions ont été commises par des réfugiés d’une nationalité particulière : les Afghans.

(…) En général, les cibles privilégiées par les Afghans ne sont pas ce que le stéréotype pourrait imaginer, des jeunes femmes habillées de manière provocante qu’un musulman confus de l’arrière-pays ultraconservateur interprète à tort comme étant de mœurs légères. Non ; souvent, les victimes sont des mères avec de jeunes enfants. Je suppose que pour un prédateur, elles semblent être des cibles plus faciles, car on suppose qu’elles seront handicapées dans leur capacité à se défendre, mais il peut aussi y avoir une dimension plus freudienne qui m’échappe.

Cela nous amène à une troisième théorie, plus convaincante et assez troublante, celle que mon ami afghan, le traducteur judiciaire, avance. Sur la base des centaines d’interactions qu’il a eues avec ces jeunes hommes dans le cadre de sa profession au cours des dernières années, il pense avoir découvert qu’ils sont motivés par un mépris profond et permanent de la civilisation occidentale. Pour eux, les Européens sont l’ennemi, et leurs femmes sont un butin légitime, comme le sont toutes les autres choses que l’on peut leur prendre : logement, argent, passeports. Leurs lois n’ont aucune importance, leur culture est inintéressante et, en fin de compte, leur civilisation tombera de toute façon devant la horde dont on est le fer de lance. Inutile de s’assimiler, de travailler dur ou d’essayer de se construire une vie décente ici : ces Européens sont trop mous pour vous punir sérieusement en cas de transgression, et leurs jours sont comptés.

(…) Et il n’y a pas que les crimes sexuels, note mon ami. Ce sont peut-être ceux qui agitent le plus l’opinion publique, mais les abus délibérés et insidieux du système de protection sociale sont tout aussi importants. Les réfugiés afghans, dit-il, ont une propension particulière à jouer du système : mentir sur leur âge, mentir sur leur situation, prétendre être plus jeune, être handicapé, appartenir à une minorité ethnique alors que même l’œil fatigué d’un juge autrichien peut distinguer les traits délicats d’un Hazara de ceux d’un Pachtoune.

Commentaires

  • Cette dite culture occidental n'etait même pas la notre il y a 30 ans, croyez moi avec l'Europe de nos grand parents ces Afghans marcheraient la queue entre les jambes. Je me souviens d'une histoire que mon père m'a raconté, que dans mon village d'enfance en Alsace, ou une famille de turque etait venu vivre et des que leur gamins ont commencé à se faire remarquer, le village entier leurs a fait comprendre de partir au plus vite! Malheureusement c'était dans les années 70, avant le début du lavage de cerveau institutionnalisé

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