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Ça ne marche pas toujours

Pour la première fois un homme participait à une compétition d’haltérophilie féminine aux JO : Laurel Hubbard. La décision du CIO d’accepter « la transgenre » n’avait pas été bien accueillie par tout le monde puisque, malgré l’idéologie LGBT, un athlète homme est a priori plus fort qu’une athlète de même niveau.

Sauf que Laurel Hubbard, né Gavin, n’a pu soulever… aucune barre.

Mauvaise journée pour les tordus.

Commentaires

  • C'est normal, les barres étaient en fonte et pas en bois, comme dans Tintin en Amérique. Hubbard devait être drogué à mort ou vacciné pour être aussi minable.

  • Les politicards français sont-ils soucieux du bien commun ?
    Les journalistes de BFM ont-ils à cœur d'informer ?
    Les homosexuels ont-ils besoin d'un proctologue ?
    Les transsexuels sont-ils en bonne santé ?

  • Si vous avez répondu non à trois des quatre questions, c'est que vous êtes un complotiste !

  • Je peux comprendre pourquoi les tordus (comme vous dites) autorisent ces pratiques. Il s'agit de bien imprimer dans les chères jeunes têtes qu'il serait possible de changer de sexe. Parce que, malgré tout, la logique des genres ne permet pas de tout autoriser dans le sport : autrement n'importe quel sous-Nadal de deuxième série pourrait se faire un fric dingue sur le circuit féminin en prétendant que, dans sa tête, il est une femme.
    N'empêche que pour une vraie femme, qui avec un cœur de midinette décide de consacrer sa vie à des sports tels que le lancer du disque, du marteau, du javelot ou à l'haltérophilie, et de leur sacrifier toute son apparente et néanmoins profonde féminité, je trouve qu'il est injuste et cruel de se trouver confrontée à une concurrence aussi déloyale avec la bénédiction des pourris du CIO.
    On voit par là que le féminisme est sous contrôle (comme pour le reste, il faut sûrement en accuser les Bretons et les Auvergnats).

  • Stavrolus, vous êtes injuste envers les Bretons et les Auvergnats, je pense plutôt que les coupables sont les Patagons.

  • Théofrède vous expliquerait ça mieux que moi, mais les Patagons sont des géants mythiques. Il y avait plutôt des espèces d'Eskimos du Sud, dans la région, qui chassaient la baleine en pirogue. Ils se sont tous fait massacrer le jour où ils ont eu le mauvais goût de s'en prendre aux Occidentaux.
    Mais j'oubliais qu'aujourd'hui la Patagonie intéresse beaucoup un certain Etat du Proche-Orient : la Bretagne, je crois.

  • Oui mais là, téo il est avec le prof de gym, i' peut pas.

  • Ou avec les haltérophiles

  • Si tordu il y a ce sont surtout tous ceux qui cautionnent, encouragent, promeuvent cette perversion, désordre, pathologie, appelez cela comme vous voulez.
    Lui et d'autres n'existeraient pas socialement, du moins en vantant leur désordre, sans leur médiatisation positive.
    Lui profite de ce créneau alors que suivi par un psychologue ou psychiatre, il resterait un patient comme un autre astreint à la discrétion comme le médecin au secret.

  • Je vous ai connu plus raisonnable et plus clair.

  • Aucun état d'âme, je n'écris pas pour plaire, mais pour dire ce que j'ai à dire. Et je suis assez convaincu de le dire comme il faut.

  • Excusez-moi, Robert. Je me trompais de fil. Je croyais que vous étiez encore sur le général, et je n'y comprenais rien du tout...

  • Pour ma part je suis surtout frappé par le caractère anti naturel de ces dérives...surtout à notre époque où l écologie est devenue la pensée officielle du régime (et de l Eglise !).

    Nul ne voit que ces "changements "de sexe sont contraires à la nature et exigent des actes médicaux et médicamenteux des plus contraignants?

  • Pauvre type laissé seul avec ses délires par une société complice, et cruelle sous couvert de tolérance.
    A vomir.

  • "El sueño de la razon produce monstruos" ( Le sommeil de la raison engendre des monstres,), comme Goya l'avait écrit sur l'une de ses œuvres.
    Oui décidément notre temps est une époque maudite de monstres, de chimères, de caricatures, de grimaces....
    Pauvre type qui finira sans doute en hôpital psychiatrique ou par un suicide.
    Ce monde n'est désormais qu'une vaste "structure de pêché".

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