La cour d’appel du Minnesota a donné raison à une lycéenne qui se dit garçon et qui veut donc utiliser les toilettes des garçons.
La lycéenne fait partie de l’équipe de natation masculine du lycée. Sic. Et la première année on la laissait aller au vestiaire des garçons. Jusqu’à ce que quelqu’un fasse remarquer qu’elle n’était pas vraiment un garçon, comme cela se voyait dans le vestiaire. La direction de l’école, un jour, lui a fait savoir que cela lui était désormais interdit. Avant de revenir sur cette décision quelques heures plus tard… Puis on lui a construit son vestiaire à part, dans le vestiaire des garçons. Mais, la deuxième année, elle a continué à utiliser le vestiaire des garçons. Alors elle a été renvoyée. Et elle a porté plainte.
Deux des trois juges ont décidé que le lycée s’était rendu coupable de discrimination et de violation de la loi du Minnesota sur les droits de l’homme, et du titre IX de la Constitution des Etats-Unis qui interdit la discrimination sexuelle, parce qu’on doit respecter l’identité de genre des personnes.
« Cette décision montre clairement que la ségrégation des élèves trans ne fait pas que nous déshumaniser, cela viole nos droits légaux », a dit l’élève.
L’affaire ne vas pas en rester là. Mais fin août, c’est une cour d’appel fédérale (celle de Richmond, Virginie) qui a décidé qu’une lycéenne qui se prend pour un garçon a le droit d’utiliser les toilettes des garçons.
Dans chacun de ces jugements, c’est le masculin qui est exclusivement utilisé pour désigner la plaignante.
Comme il y a encore des gens, et des écoles, qui font la différence entre une fille et un garçon, ces affaires iront jusqu’à la Cour suprême.
A ce propos, c’est aujourd’hui le deuxième jour de l’audition d’Amy Coney Barrett devant le Sénat. Hier, des manifestants qui bloquaient l’entrée du Sénat ont dû être dégagés par la police. Et elle a dû subir une violente attaque de la sénatrice du… Minnesota Amy Klobuchar. Celle-ci a commencé en disant que « le problème est que nous avons un Président pour qui la vérité ne compte pas », et s’est lancée dans une diatribe contre les militants de la vie.
Aujourd’hui c’était le tour de Dianne Feinstein, qui ne l’a pas attaquée sur sa foi, comme lors de l’audition pour être juge fédérale, mais uniquement sur l’avortement…
Commentaires
Pour le premier sujet : au secours ! Comment des personnes peuvent-elles avoir l'esprit autant à l'envers ?
Deuxième sujet : prions pour Amy, elle va en avoir besoin.
cela se passe hélas dans le Minnesota
tous nos journaleux, ne voulant ou ne pouvant pas savoir que les Etats-Unis sont une fédération, vont le mettre sur le compte de Trump
pourra-t-il éviter que ça se propage ?
"Ni le Sénat, ni le peuple ne peuvent nous soustraire à son empire ; elle n’a pas besoin d’interprète qui l’explique. Il n’y en aura pas une à Rome, une autre à Athènes, une aujourd’hui, une autre demain, mais une seule et même loi éternelle, inaltérable qui dans tous les temps régit à la fois tous les peuples."
C'est ce que Cicéron écrit de la loi naturelle dans le De Republica. Il en découle que plus le droit positif s'en éloigne, plus il doit recourir à la surveillance, à la délation, à la force et à la violence pour contraindre les chevilles rondes à entrer dans des trous carrés. C'est ce que vient d'éprouver à ses dépens le professeur d'histoire du droit Aram Mardirossian, pour avoir comparé le "mariage" des homosexuels à l'union d'un homme et d'une jument.
il parait que cette union était de rigueur dans l'Irlande païenne quand un nouveau roi montait sur le trône
serait-ce une vieille coutume indo-européenne
Selon Diodore de Sicile, un patricien romain punit sa fille d'avoir perdu sa virginité avant le mariage en l'unissant avec un cheval, ce dont elle mourut. Elle n'avait peut-être pas le tempérament d'une Marlène Schiappa.
Pardon. Vérification faite, c'était un citoyen d'Athènes.
Satan aime beaucoup les unions contre-nature. C'est lui l'inspirateur des mythologies. Par exemple l'histoire du Minotaure. Satan est un raté, il phantasme et veut faire phantasmer les idiots qui l'écoutent., en particulier nos dictateurs en place actuellement.
Mais oui, puisque les démocrates reviennent en force, la guerre des chiottes, initialisée sous Obama, est de retour.