Ceux qui voulaient que les familles des victimes des attentats du 11 septembre puissent attaquer en justice l’Arabie saoudite ont gagné. La proposition de loi avait été votée le 9 septembre dernier par les députés et les sénateurs américains, malgré la menace de veto d’Obama. Comme prévu, Obama a donc opposé son veto, en qualifiant cette loi de « faute ».
Mais les deux chambres se sont rebellées, et ont annulé le veto en revotant massivement, avant-hier, pour le texte : le Sénat par 97 voix contre 1, la chambre des représentants par 348 voix contre 77, soit bien plus des deux tiers.
La proposition de loi « Justice contre soutiens du terrorisme » ne citait pas l’Arabie saoudite, mais elle vise essentiellement à permettre aux familles des victimes du 11 septembre de pouvoir porter plainte contre cet Etat dont étaient issus la majorité des terroristes.
Naturellement l’Arabie saoudite accuse le coup et menace les Etats-Unis de rétorsions.
Affaire à suivre, car elle risque de changer considérablement la donne…
Commentaires
L'Arabie Saoudite ?
Mais voyons un peu, est-ce que par hasard ça ne serait pas ce pays où on édite un traité de droit musulman du savant égyptien Abdeladhim Ibn Badaoui (né, non pas en 1354, mais en 1954), largement exporté dans les pays de langue française et anglaise, facile à acheter en France pour vingt euros ?
Un compendium qui s'ouvre par un exposé sympa sur l'esclavage des ennemis de l'islam vaincus dans le jihad.
Et qui explique que le propriétaire d'une femme esclave a le droit d'avoir des rapports sexuels avec elle.
Ce docteur d'al-Azhar serait-il islamophobe ?
dans toutes les civilisations les propriétaires de femmes esclaves ont eu le droit d'avoir des rapports sexuels avec
cela explique, bien que les dignes protestants anglo-saxons des 13 colonies aient été des hommes vertueux, qu'un bon tiers des noirs américains soient possesseurs d'un chromosome Y d'origine européenne
Au-dessus des ruines inconsistantes qui survivent à la destruction générale "ils" dressèrent une morale indépendante désormais rattachée à la législation, pour ne plus former avec elle qu’une seule et même discipline. Ils viendront ces temps où la suprême référence sera « l’État de droit » dont la morale, fruit de la jouissance et du profit, se transformera indéfiniment jusqu’à faire que ce qui est moral n’est plus légal et que ce qui est légal n’est plus moral.
Extrait d'un titre à venir en fin d'année, si bien adapté à notre temps.