Je n’avais pas fait attention à ce propos du procureur de Marseille :
« Le copilote n’était pas répertorié comme terroriste. »
Réaction de Galliawatch :
« Parce qu'il arrive qu'on permette de voler à des membres d’équipage répertoriés comme terroristes ? »
Au-delà de ce qui n’est, espérons-le, qu’une maladresse de langage, il reste le fait qu’on a pris des mesures de sécurité dans les avions en partant du principe que le terroriste viendrait de l’extérieur du cockpit. Il semble qu’il soit urgent de considérer qu’il pourrait être dans le cockpit. Et il est sidérant qu’on n’ait pas pensé jusqu’ici que le terroriste puisse être le pilote.
Commentaires
On insiste beaucoup trop sur une prétendue maladie mentale dépressive du co-pilote pour ne pas que cela cache quelque chose d'inavouable, quelque chose qui fait peur; surtout à la veille du deuxième tour des élections en France. Il ne faudrait pas que l'on pense que le gouvernement n'a pas parfaitement en main la situation.
Vous connaissez l'air de la calomnie (la calunia); sinon allez voir sur you tube une version française.
"Cela commence petitement, cela commence doucement et puis tout doucement enfle, enfle, jusqu'à devenir un vacarme infernal. Et l'on voit le pauvre diable, menacé comme un coupable, tomber, tomber terrassé, tomber terrassé."
vous verrez après les élections apparaître des "éléments troublants" justifiant le fichage et le pistage des innocents, dissidents politiques, osant penser autrement que le dit le système.
"Et il est sidérant qu’on n’ait pas pensé jusqu’ici que le terroriste puisse être le pilote"
Non, puisque la France est aussi gouvernée par des terroristes et personne ne pense que cela soit possible.