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En Inde

Le tabernacle de l’église catholique Saint-Antoine d’Aluva, dans le Kerala, a été profané, et toutes les hosties ont été volées. Ce qui laisse craindre qu’il s’agisse d’un vol lié à des messes noires, d’autant que le tronc des dons est resté intact et que rien d’autre n’a été volé.

L’agence Fides rappelle qu’après un incident similaire, en septembre 2010, en l’église Saint François d’Assise d’Alappuzha, l’évêque du lieu, Mgr Stephen Athipozhiyil, avait publié une Lettre pastorale demandant aux fidèles d’être vigilants quant aux activités de groupes adorateurs du diable.

Et que les prêtres de l’église Saint-Jacques de Cheranallore (archidiocèse de Verapoly) ont cessé de procéder à la distribution de la Sainte Communion dans la main des fidèles après avoir constaté à plusieurs reprises que les hosties n’avaient pas été consommées mais avaient été emportées.

Si les actes satanistes pouvaient inciter tous les prêtres à arrêter de donner la communion dans la main, on pourrait dire que vraiment le diable porte pierre…

Commentaires

  • Comme l'a démontré Mgr Schneider, la "communion dans la main" n'a jamais été distribuée comme elle l'est aujourd'hui.

    L'archéologisme n'était qu'un prétexte. Je lisais hier un texte de Paul VI qui faisait référence au "Mouvement liturgique" dans la suppression subreptice de la fête de la Circoncision par l'instauration d'une fête de la Vierge Marie "Marie, Mère de Dieu".

    En réalité, Paul VI n'avait pas le pouvoir de supprimer la fête de la Circoncision, et cela en vertu de la liberté religieuse et de la liberté de la culture. Il l'a pris ce pouvoir à sa façon habituelle : oblique, implicite. Il agressait la culture catholique en faisant semblant de "restaurer", abusant de son pouvoir.

    http://www.vatican.va/holy_father/paul_vi/apost_exhortations/documents/hf_p-vi_exh_19740202_marialis-cultus_fr.html

    La distribution dans la main, par des laïcs, par intinction a pour but de diminuer le respect, donc la foi dans la présence réelle.

    Sinon, pourquoi ces changements ? Nous serions en droit de poser la question que pose l'empereur Nicolas à propos de l'islam : montre-moi le progrès que ces changements et condamnations subreptices de la culture catholiques ont apporté ? Qu'est-ce que cela a apporté de mieux, de plus ?

    http://92.catholique.fr/faq/fetes_noel_janvier_mere%20deDieu.htm#Suppression

    La Circoncision est un mystère du Rosaire qui disparaît du calendrier liturgique subrepticement. La Circoncision est un mystère de foi : les premières gouttes de sang répandues par Jésus, dans de terribles souffrances, par obéissance à son Père. Elle était, elle est, le symbole d'unité des deux Testaments et de l'unité des juifs et des chrétiens. Quel gâchis ! Heureusement nous avons la liberté religieuse pour nous.

  • Je rectifie selon le "cybercuré", la fête n'a pas été instituée par Paul VI, mais transférée du mois d'octobre au mois de janvier (elle fut instituée par Pie XI). C'est la fièvre pontificale d'innovations.

    Un fête instituée dans les années 30 est transférée dans les années 60... Comme d'habitude on supprime un fête relative à un événement historique pour instituer une fête théologique (autre exemple : Christ-Roi, contre Épiphanie).

    Ces innovations (fatigantes) ne s'imposent pas comme des règles, elles se reçoivent comme des facultés.

  • Cela d'autant plus que, selon ce que je crois avoir lu sous des plumes autorisées, la fête de Noël, comme la fête de la Circoncision sont des fêtes de Sainte-Vierge et de son Fils et non pas exclusivement de son Fils. Marie met l'enfant au monde, Marie et son mari présentent Jésus à la circoncision. Sur ces questions théologiques, je m'en remets évidemment au jugement de l'Église enseignante.

  • Dom Guilmard, de Solesmes, a montré qu'il n'y avait jamais eu de fête mariale à Rome le 1er janvier. Paul VI avait été abusé par les faussaires archéologues liturgistes lorsqu'il a procédé à la "réinstauration de la solennité de Sainte Marie, Mère de Dieu, ainsi placée au 1er janvier selon l’ancienne coutume de la liturgie de Rome".

    (Cela dit, la circoncision n'est pas un mystère du Rosaire.)

  • Peut-dire que la fête de la maternité divine est déjà célébrée à Noël, avec la Nativité ?

  • Certes on peut dire que Noël est (aussi) la fête de la maternité divine. D'ailleurs dans la liturgie byzantine on fête la Théotokos le 26 décembre. (La liturgie byzantine célèbre, le lendemain des fêtes, le principal protagoniste de la fête.)

    La fête de la Maternité divine, au 11 octobre (ce qui ne correspond à rien) fut instituée par Pie XI en mémoire du 15e centenaire du concile d'Ephèse. En fait elle a duré moins de 40 ans dans le calendrier "ordinaire" et ce sont les tradis qui perpétuent cette fête moderne...

  • Il n'est pas facile maintenant de communier dans la bouche en étant debout, le prêtre parfois plus petit que vous.

    Avant c'était très facile quand on était agenouillé au banc de communion. Aujourd'hui on peut se sentir instable et parfois on doit rattraper l'hostie au vol. Combien le pape Benoit avait raison...

  • Il suffit de mettre un genou à terre devant le prêtre, ou carrément les deux, jusqu'à ce qu'ils restaurent le banc de communion

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