Il n’y a pas eu de printemps arabe en Algérie, et les « élections » sont donc conformes aux élections habituelles, avec un effort particulier pour marginaliser les islamistes (qui crient à la fraude) : le FLN remporte 220 sièges, et le parti du Premier ministre 68. L’alliance islamiste n'obtient que 48 représentants, contre 62 dans l'Assemblée sortante.
La participation a été officiellement de 42,36%.