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Richard Descoings

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C’était un fanatique de la discrimination positive et de la préférence étrangère. Autoproclamé « premier pédé de Sciences Po » (Le Point 9 mars 2007), il avait rendu obligatoire à Sciences Po les « gender studies » et créé une « Queer week ».

Il est queer mort dans une chambre d’un palace de New York.

Il est chaudement pleuré par toute notre élite politique, à commencer par le ministre Luc Chatel.

Commentaires

  • Je partage vos critiques et je pourrais moi même passer des semaines entières à critiquer sa politique à la tête de Sciences Po. Mais en cette Semaine Sainte je pense que nous devrions respecter un temps de deuil et prier pour le salut de son âme ainsi que pour le réconfort de ses proches, en particulier son épouse (sic).

  • En enfer, et vite !

  • Quelle joie.... Une semaine en état d'euphorie. Merci pour ce sublime cadeau, Monsieur Descoings.

  • Aimez vos ennemis, priez pour ceux qui vous persécutent. Car Dieu ne souhaite pas mort du pécheur, mais sa conversion. Et le Christ est mort autant pour nos péchés que pour ceux de M. Descoings. Et peut être sommes nous bien plus responsables des souffrances du Christ que M. Descoings, car seul Dieu sonde les reins et les coeurs.

    En résumé : bordel de m... il est mort foutez lui la paix au moins jusqu'à Pâques (!!!!) avant de faire son procès auquel je serais prêt à participer mais au moins après que son épouse ait pu l'enterrer et après que nous ayons célébré la Résurrection de Celui qui est mort pour nous, y compris pour M. Descoings.

  • Toute la presse précise que Guillaume Pepy, patron de la SNCF, qui était un ami très proche de la famille (sic), a été appelé par la veuve à venir d'urgence à New-York.

    Ah ! qu'en termes galants ces choses-là sont dites.

    L'hypocrisie et la vie privée dissolue (restons courtois) sont les caractéristiques majeures des classes dirigeantes sur leur fin.

    Cette affaire mérite d'être rapprochée de celle du banquier Stern, amateur d'amour brutal, récemment tué par sa maîtresse lors d'une soirée trop agitée.

  • @Thibault: Si on ne parle pas en bien de cet individu, c'est que 99% ne cessent de faire son apologie. A la fin c'est usant.

    Maintenant on sait immédiatement si une célébrité qu'on ne connaissait pas personnellement est normale ou satanique, selon la dose de pleurs et d'admiration déversée par les médias.

    Les célébrités "bien" ont droit à une ligne, et on passe à autre chose.

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