Une centaine de tombes avaient été profanées à Toulouse en 2007. Le procès des profanateurs présumés a eu lieu jeudi dernier. Le procureur a retenu la circonstance aggravante de racisme anti-chrétien que demandait l’AGRIF.
Il n’y avait personne pour représenter les victimes, pas d’avocat non plus de la mairie de Toulouse. Seule l’AGRIF était là.