Communiqué de Bernard Antony, président de l’AGRIF
Au moment où, avec raison, les juifs protestent contre la profanation d’un cimetière israélite en Alsace, c’est dans l’indifférence médiatique qu’est tombée la nouvelle de la profanation et la dévastation de l’église d’Échillais en Charente-Maritime.
La rage dans la destruction du crucifix indique clairement que nous sommes là encore, après des dizaines d’autres abominations du même genre cette année, en présence d’un acte de haine antichrétienne.
L’AGRIF va charger l’un de ses avocats d’instruire la plainte qui s’impose.
Commentaires
Le fait que pas un journaliste n'ose en parler, si ce n'est localement, démontre bien leur courage. Après ça roule des mécaniques... Pourquoi personne ne profane un plateau de télé et ne rosse le présentateur?