« En se figeant à jamais sur un mur, dans l'imaginaire héroïque d'un surnom de guerre, les tags tentent de mettre fin à l'éternelle précarité qui touche à des degrés divers une grande partie des jeunes », pontifiait le ministère de la Culture de Jack Lang, qui avait créé un « Centre des arts de rue ».
Commentaires
Si les tagueurs sont antisionistes, je ne vois pas ce qu'on peut leur reprocher.