En présentant le Livre blanc sur la Défense (ou plutôt sur la non-défense), Nicolas Sarkozy a répété qu’il s’attellerait à une « relance » de l’Europe de la Défense , lors de sa présidence de l’UE, et il a ajouté : « Quel que soit l’avenir du traité de Lisbonne, je ne changerai pas d’avis. »
Si Sarkozy voulait être sûr qu’un éventuel nouveau référendum irlandais serait à nouveau négatif, il ne s’y prendrait pas autrement : c’est le sujet sur lequel les Irlandais sont le plus susceptibles...