Communiqué de Marine Le Pen
Denis Gautier-Sauvagnac, ancien porte-parole des ci-devants "maîtres de forges" (président de l'UIMM : Union des industries et métiers de la métallurgie), mis en cause par la justice dans le financement occulte des syndicats, aurait préalablement négocié une indemnité de départ d’un million et demi d’euros et la prise en charge de ses frais de justice à venir par cette composante du MEDEF. L’information, révélée par Marianne et confirmée par l’organisation patronale, révèle l’ampleur des scandaleuses connivences entre un certain patronat pour lequel tout est permis et des structures syndicales qui, en privilégiant leurs propres intérêts financiers, trahissent la cause des travailleurs français qu’elles sont censées défendre. Ce que tout ce petit monde appelle "fluidifier le dialogue social" n'est ni plus ni moins qu'une grande collusion d'intérêts contre-nature.
Le Front National dénonce ce grand copinage entre patronat et syndicats à l'intérieur d'un système qui ne se préoccupe aucunement des travailleurs français. Ceux-ci savent bien au fond que ni les slogans creux des uns ni les millions des autres ne sont destinés à les protéger.
Pendant ce temps, le bal de la mondialisation continue et la valse des délocalisations menace d’emporter dans les Ardennes les 700 emplois de la société Electrolux, spécialisée dans la production de lave-linge haut de gamme.
Commentaires
Cher Yves Daoudal,
Je viens de créer un lien sur notre site Journal Chrétien pour référencer tes articles. Je voudrais savoir ce que tu en penses. Le site étant affilié à Google, ta biographie que j'ai ajoutée est visible sur Google actualité.
Le Journal chrétien est un espace de libre pour tous les chrétiens (catholiques et protestants).
Aloys
Vous parlez de Denis Gautier ? Le snob est allé s'ajouter "Sauvagnac" à son nom pour faire plus chic. L'apparence n'est pas tout et lorsque l'on a honte du nom de ses pères, on doit être prêt à toutes les concessions...
La mafia des syndicats patronaux et ouvriers associés aux partis politiques n’a rien a envier à la mafia sicilienne : elle pourrait même lui donner des leçons !
Le slogan « Tous pourris » est très en dessous de la vérité.
Oui, Lapinos, d’accord avec vous, j’aurais dû citer la mafia américaine : la vraie mafia est bien américaine. On parle de la mafia sicilienne par tradition, mais c’est une tradition d’ailleurs mal comprise.
La compagne électorale américaine est un profond déni de démocratie qui confine à la dictature : on exclut soigneusement tout candidat qui n’a pas été choisi par les deux partis frères jumeaux et qui s’entendent pour faire élire celui que les lobbies mondialistes auront choisi. Et dire qu’on vient encore d’entendre les soi disant « grands médiats » claironner que l’élection en Russie n’avaient pas été démocratique : ils osent parler de la paille dans l’œil du voisin et font semblant de ne pas voir la poutre qu’ils ont dans le leur !