En ce qui concerne le GIEC, on nous fait croire qu’il s’agit d’un groupe de scientifiques représentatif qui exprime l’unanimité du monde scientifique. Il est significatif que l’AFP conclue une dépêche sur les rares personnalités qui se sont exprimées de façon critique sur ce prix Nobel en disant : « Aucun de ces sceptiques n’est toutefois climatologue de formation. » C’est faire l’impasse, par exemple, sur les 61 universitaires de renom international (dont de nombreux « climatologues de formation »... et de profession) qui il y a un an remettaient radicalement en cause les présupposés du protocole de Kyoto et les conclusions du GIEC. Ils disaient notamment :
« Les preuves expérimentales ne soutiennent pas les modèles climatologiques actuels, et il y a donc peu de raisons de faire confiance aux prédictions de ces modèles. » Et même si les modèles étaient corrects, « l’impact environnemental d’un plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre serait insignifiant ». « “Le changement climatique est réel” est une phrase sans signification que les activistes utilisent de manière répétée pour convaincre le public qu’une catastrophe climatique est imminente et que l’humanité en est la cause. Aucune de ces peurs n’est justifiée. Le climat de la planète change en permanence à cause de facteurs naturels et l’impact de l’activité humaine est difficile à séparer de ce “bruit“. »
Parmi ces scientifiques, plusieurs faisaient partie du GIEC et ont démissionné pour ne pas cautionner l’imposture.