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Jolie réponse russe

Dans son discours devant la conférence des ambassadeurs, Nicolas Sarkozy avait déclaré : «  La Russie impose son retour sur la scène mondiale en jouant avec une certaine brutalité de ses atouts, notamment pétroliers et gaziers, alors que le monde, l’Europe en particulier, espèrent d’elle une contribution importante et positive au règlement des problèmes de notre temps que son statut retrouvé justifie. »

Le mot « brutalité » n’était pas très diplomatique  Mais Sarkozy n’est pas un « lâche » comme tous ces types du quai d’Orsay (voir note précédente).

La Russie ne pouvait que répondre. Elle l’a fait par la voix du porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, qui a l’art et la manière... :

« Nous pensons qu’en parlant de brutalité à propos de la politique de la Russie , le président Sarkozy a fait preuve d’un peu d’émotivité. Nous pensons que, dans ce cas, le mot brutalité était le reflet d’une langue française très belle et chargée d’émotion. En réalité, nous espérons de la compréhension de la part de nos partenaires européens. Ce n’est pas de la brutalité, c’est du pragmatisme. »

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