« Tous dans le piège des parrainages... » : ceux qui ne les ont pas, et ceux qui voudraient qu’ils les aient parce que ça les arrange : c’est le thème de mon éditorial.
En contrepoint de la visite de Jean-Marie Le Pen au Salon de l’agriculture, Alexandre Martin montre comment le président de la FNSEA a battu un record de mauvaise foi.
La campagne de Jean-Marie Le Pen, c’est aussi son meeting à Marseille sur l’immigration... et l’affaire des ordinateurs piratés.
A lire comme chaque semaine la Semaine de Topoline, « où l’on constate que le pays n’est plus qu’une vaste zone de non-droit et où Ségolène, grâce au pantalon, démontre son désir d’intégration ».
Michel Limier s’intéresse à Christophe Chantepy, très discret patron de l’entreprise Royal (il est le président de Désirs d’avenir), qui est « l’un des responsables socialistes qui connaît le mieux les rouages de l’Etat par la multiplicité des fonctions qu’il a exercées, en particulier dans les cabinets ministériels ».
Jean Roberto se penche sur le procès de la Khalifa Bank, où seuls les lampistes sont inquiétés.
Béatrice Pereire constate que si les candidats à la présidentielle parlent beaucoup des Français, seul Jean-Marie Le Pen parle de la France et peut ainsi rassembler tous ceux qui aiment la France, d’où qu’ils viennent.
Egalement dans ce numéro, le texte du vibrant discours de Roger Holeindre, à la convention présidentielle de Lille, sur l’armée française.