Les auditions ont permis d’identifier plusieurs des routes empruntées par la filière. Et c’est ici que les informations policières deviennent intéressantes : la France était le principal lieu de transit avant les destinations finales, déterminées « au gré des opportunités de régularisation offertes par différents pays d’Europe occidentale » (ce qui n’exclut évidemment pas la France elle-même).
Voilà une confirmation du fait que toute régularisation, même limitée, même exceptionnelle (parents d’enfants scolarisés, squatteurs de Cachan, etc., etc.) est un appel à l’immigration clandestine.