Barack Obama est allé en Alaska pour faire un acte de soumission à la religion climatique dont il est devenu un des grands prêtres :
« Nous sommes ici pour parler d'un défi qui définira les contours de ce siècle de manière plus spectaculaire que tout autre : c'est la menace urgente et grandissante du changement climatique… Cette année à Paris doit être l'année où le monde parviendra enfin à un accord pour préserver la seule planète que nous ayons tant qu'il est encore temps... »
Bref, ne regardez pas l’invasion islamique de la planète, ne portez aucune attention aux ravages de la culture de mort, soyez seulement attentifs au fantasme hypnotique du « climat », au grigri obligatoire, vos paupières deviennent lourdes, vous dormez profondément…
Et l’on peut vous raconter n’importe quoi :
« La science est claire, elle est précise, et elle démontre que ce qui était autrefois une menace lointaine est désormais une réalité. »
Alors qu’il n’y a rien de moins scientifique, rien de moins clair, rien de moins précis, que les rapports du Giec.