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  • C’est à dégueuler

    SUA SANTITA È GRATO PER IL DELICATO GESTO E PER I SENTIMENTI CHE LO HANNO SUGGERITO E AUSPICA UNA SEMPRE PIU' PROFICUA ATTIVITA' AL SERVIZIO DELLE GIOVANI GENERAZIONI E DELLA DIFFUSIONE DEGLI AUTENTICI VALORI UMANI E CRISTIANI.

    Sa sainteté est reconnaissante pour le geste délicat et pour les sentiments que vous avez évoqués, et espère une activité toujours plus fructueuse au service des jeunes générations et de la diffusion des authentiques valeurs humaines et chrétiennes.

    Cette lettre de la Secrétairerie d’Etat a été reçue par Francesca Pardi, qui édite des livres pour enfants qui ne sont rien d'autre que de la propagande homosexuelle. On dit « qui parlent d’homoparentalité » quand on est poli. Mais je n’ai pas du tout l’intention d’être poli. Les livres pour enfants édités par Francesca Pardi et sa « femme » Maria Silvia Fiengo (elles se sont « mariées » à Barcelone et « ont » quatre enfants) sont une immonde pourriture, expliquant aux enfants que c’est génial d’avoir deux papas ou deux mamans, et que c’est parfaitement naturel, puisque les animaux font la même chose (on voit en effet dans leurs livres des animaux homosexuels qui élèvent « leurs » petits dans la joie et l’harmonie…)

    Donc, à l’occasion du Family Day, la très réussie journée de la famille qui tente de défendre le modèle familial créé par Dieu et manifestait cette année contre le projet de Pacs, Francesca Pardi avait écrit au pape, lui envoyant son catalogue (où il y a l’un des livres que le maire de Venise a fait retirer des bibliothèques des écoles), des photos de sa « famille » (sic) et une longue lettre où elle s’en prenait à cette Manif pour tous contre le pacs, affirmant qu’il n’y avait « pas l’ombre de la théorie du genre » dans les livres qu’elle édite, qu’elle a entrepris ce travail uniquement « pour le bien des enfants », que le livre Pourquoi avoir deux mamans est tout simplement leur histoire personnelle, et Pourquoi avoir deux papas est « l’histoire d’une famille que nous connaissons personnellement ». « Ce n’est pas de l’idéologie mais seulement l’amour du prochain. » Puis venait une longue diatribe contre ceux qui se disent catholiques et qui sont intolérants. Et elle disait que « beaucoup de gens mettent leur espoir dans une Eglise qui ne soit pas intégriste et inhumaine comme nous l’avons connue à d’autres époques. »

    C’est à cela que le pape répond ce que l’on a lu au début : le pape remercie, et espère que ces deux lesbiennes vont continuer, plus que jamais, à éditer des livres homosexuels pour enfants, ce qu’il appelle les authentiques valeurs humaines et chrétiennes. Et il ajoute sa bénédiction apostolique, à deux femmes pour qui ça ne représente rien. Rien d'autre qu'un blanc seing de l'Eglise pour poursuivre leur œuvre de pourriture.

    Naturellement, Francesca Pardi triomphe et en remet une couche. Et avec elle tous les militants homosexualistes. Le pape leur donne raison, et il désavoue le maire de Venise (celui qui a dit aussi qu’il n’y aurait pas de gay pride pendant son mandat). Et celui-ci est désormais montré du doigt, de partout, comme étant spectaculairement condamné par le pape.

    Le Vatican s’est encore enfoncé davantage en soulignant que cette lettre était privée et que la bénédiction qui la concluait va à la personne, et non à « d’éventuels enseignements qui ne sont pas en ligne avec la doctrine de l’Eglise sur la théorie du genre, qui n’a pas changé le moins du monde, comme l’a rappelé à plusieurs reprises le Saint-Père ». « En aucune façon une lettre de la secrétairerie d'État n’entend avaliser des comportements et des enseignements non conformes à l'Evangile… Une instrumentalisation de la lettre est tout à fait inappropriée… »

    On remarque que cette pantalonnade du Père Ciro Benedettini, vice-directeur du bureau de presse du Vatican, n’évoque même pas la propagande homosexuelle. Il s’en tient à la « théorie du genre » (alors que Jean-Paul II a montré il y a bien longtemps que c’est une terrifiante idéologie et non une théorie), sans même savoir que Francesca Pardi niait fermement faire la promotion de la dite « théorie ».

    Mais on a compris l'essentiel : la doctrine ne change pas. Le pape peut féliciter des éditeurs de livres de propagande homosexuelle pour enfants, et appeler cela les « authentiques valeurs humaines et chrétiennes », cela n’a pas d’importance, puisque « la doctrine ne change pas ».

    Je ne sais pas si c’est cliniquement de la schizophrénie, et je m’en moque. Ce que je sais, c’est que ce pape, qui n’avait pas eu un mot de soutien pour l'impressionnant Family Day, s’est mis ouvertement du côté des pourrisseurs, dont il reçoit en ce moment de nouveaux éloges dithyrambiques. Il aura eu sa récompense en abondance...

  • Impressionnant, quand même

    Voici des titres relevés sur Fdesouche, hier soir entre 20h48 et 22h55, donc sur à peine plus de deux heures d'actualités :

    Besançon (25) : Fayçal, Mohamed, Bachir condamnés pour de multiples vols

    Ris-Orangis (91) : course poursuite, dégradations, coups de feu… Le mariage tchétchène tourne au rodéo sauvage

    Lille (59) : Khalil, 18 ans, «manager» du trafic de drogue au Faubourg-de-Béthune

    Lille (59) : Zaidou, 14 condamnations, agresse sexuellement une jeune femme

    Lille (59) : Ayoub voulait contrôler la vie de sa sœur

    Metz (57) : Chérif et Lamine, 23 et 12 mentions au casier, de la drogue et des armes

    Le Havre (76) : par « solidarité familiale », Malik, Moussa et Alassane s’en prennent aux policiers

    Mais on ne le répètera jamais assez: pas d'amalgame !

  • On vend tout au Qatar

    Le gouvernement français aurait décidé de vendre au Qatar le palais viennois qui abrite l’Institut culturel français. Un lieu exceptionnel, avec un très grand parc en centre ville. Il y en aurait pour 23 millions d’euros.

    Le maire de Vienne, le chancelier autrichien et le président de la République, tous trois sociaux-démocrates et francophiles, sont opposés à cette vente. Car contrairement à la France ils cherchent à contenir l’avancée du Qatar partout en Europe. Mais c’est justement pour cela que la France va vendre le palais : personne ne peut s’opposer à ce que la France vende un bien français, et la France se fait bien voir de cette puissance islamique en lui ouvrant les portes de Vienne… Ce qui sur le plan symbolique n’est pas indifférent non plus.

  • Réveillez-vous !

    Le fameux « Meeting pour l’amitié entre les peuples » organisé chaque année à Rimini par Communion et Libération, où il y a toujours « 800.000 participants », s’est déroulé du 20 au 26 août.

    Etait notamment invité un prêtre catholique irakien, le P. Douglas al-Bazi. C’était a priori sans risques pour le Padalgam nécessaire à une fausse « amitié entre les peuples », puisqu’un prêtre irakien, sur lequel pèse la dhimmitude, ne peut que parler à mots couverts et de façon consensuelle s’il veut rester vivant quand il retournera en Irak.

    Mais voilà. Le P. al-Bazi a connu de près les jihadistes, et il a l’intention de dire la vérité.

    Et il a terminé son intervention par cet avertissement :

    « Réveillez-vous ! Le cancer est à votre porte ! Ils vont vous détruire ! Nous, les chrétiens du Proche Orient, sommes le seul groupe qui a vu le mal en face : c’est l’islam. »

    Auparavant il avait dit :

    « S’il vous plaît… S’il y a encore quelqu’un qui pense que l’Etat islamique ne représente pas l’islam, qu’il sache qu’il a tort. L’Etat islamique représente l’islam à 100%. »

    Un jour à Bagdad il était devant une église qui a explosé. Et on lui a tiré une rafale de kalachnikov dans les jambes. « et probablement ils me tueront un jour ou l’autre ».

    Il y a 9 ans, il a été kidnappé et enchaîné, avec un bandeau sur les eux, le nez cassé d’un coup de genou. « Les quatre premiers jours ils ne m’ont même pas donné à boire. Ils passaient près de moi en disant : Père, voulez-vous un peu d’eau ? Toute la journée ils écoutaient la récitation du Coran pour montrer au voisinage quels bons croyants ils étaient… Ils avaient mis un gros cadenas sur mes poignets. La chaîne avait dix anneaux, et je m’en suis servi pour dire le Rosaire. Je ne l’ai jamais fait de façon si profonde que dans cette circonstance… Moi je n’implore pas votre aide. Je n’ai pas peur, de même que mon peuple n’a pas peur. Je crois que finalement ils nous détruiront. Mais je crois aussi que c’est nous qui aurons le dernier mot. Jésus a dit qu’il fallait porter sa propre croix, et c’est ce que nous faisons au Proche Orient. Mais la chose la plus importante n’est pas de porter la croix, c’est de la suivre. Et la suivre signifie l’accepter, accepter le défi et s’engager jusqu’à la fin. Pour cela nous ne renoncerons jamais. »

    Aujourd’hui le P. al-Bazi s’occupe de deux camps de réfugiés, près d’Ankawa, dans le Kurdistan. « Du matin au soir nous recevons des milliers de réfugiés », et l’exode continue. « Je suis fier d’être irakien, j’aime mon pays, mais mon pays n’est pas fier que j’en fasse partie. Ce qui arrive à mon peuple est un génocide. Je vous en supplie, ne parlez pas de conflit : c’est un génocide. »

    Et il n’y a pas d’islam modéré, rappelle-t-il à son tour. Il n'y a que des musulmans modérés, qui peuvent très vite devenir fanatiques. « Lorsque l’islam vit parmi vous, la situation peut apparaître acceptable. Mais quand on vit parmi des musulmans, tout devient impossible. Je ne suis pas là pour vous inciter à la haine envers l’islam. Je suis né parmi les musulmans, et j’ai plus d’amis chez eux que chez les chrétiens. Mais les gens changent, et si l’on va dans mon pays personne ne peut distinguer la lumière des ténèbres. Il y en a qui disent : Mais j’ai tellement d’amis musulmans qui sont sympathiques ! Oui, certes. Ils sont sympathiques, ici. Là-bas la situation est bien différente. »

  • Si populaire ?

    Des chiffres officiels de l’affluence aux audiences générales du mercredi, il ressort que la moyenne a été de

    - 51.617 personnes en 2013,
    - 27.883 personnes en 2014,
    - 14.818 personnes en 2015 (jusqu’ici).

    Soit un nombre quasiment divisé par deux chaque année.

    A la centième audience, mercredi dernier, il y avait « plus de 10.000 personnes ».

  • La mallette noire

    Est-ce vrai ? En tout cas c’est crédible, et vraisemblable, maintenant qu’on connaît bien le personnage. Le seul problème est qu’il n’y a me semble-t-il pour le moment qu’une source unique, et surtout qu’elle est bien tardive.

    L’histoire se passe en effet le matin du 22 juillet 2013. François arrive à l’aéroport de Rome Fiumicino pour se rendre aux JMJ de Rio. C’est son premier voyage pontifical.

    Il cherche sa mallette : son vieux, humble et pauvre cartable noir. On lui dit qu’il ne doit pas s’inquiéter : elle a déjà été déposée dans l’avion.

    — Mais je veux la porter à bord ! aurait dit le pape.

    — Cela n’est pas nécessaire, elle y est déjà…

    — Vous ne comprenez pas ! Allez dans l’avion, prenez la mallette, et rapportez-la ici, s’il vous plaît.

    Et c’est ainsi que quelques instants plus tard on vit François traverser l’aéroport et monter dans l’avion avec sa mallette. Le zèle de ses assistants avait failli faire rater le début de la légende de la mallette dont le pauvre et humble pape ne se sépare jamais… Et donc la suite de la mise en scène, quand il répond à un journaliste sur ce qu’elle contient : « Mon rasoir, mon bréviaire, mon agenda, un livre – sur sainte Thérèse de Lisieux que j’aime beaucoup… Je prends toujours ce bagage quand je voyage. C’est normal. Nous devons nous habituer à ce que ce soit normal. »

    La normalitude de l'autre François, donc. Mais ce que je constate est qu’il ne prend pas de brosse à dents. C’est parce qu’il a un dentier ?

  • Saint Augustin

    « Le culte du grand docteur d’Occident ne dépasse pas les frontières du romanum eloquium, il est inconnu de toutes les liturgies orientales », écrit l’hyperspécialiste du culte des saints, Pierre Jounel… qui a puissamment contribué à les affaiblir et démolir lors de la « réforme » liturgique.

    Saint Augustin se trouve pourtant très officiellement, au 15 juin, dans le synaxaire de l’Eglise de Grèce, comme on peut le voir sur ce site de « Présence orthodoxe », ou sur le site du synaxaire, qui donnent une brève biographie de l’évêque d’Hippone et les pièces liturgiques propres (même s'ils agit de ce qu'on appelle dans la liturgie latine une messe "dans certains lieux", puisque le saint du jour dans le calendrier byzantin est le prophète Amos). Ce dernier site donne même un enregistrement du tropaire, dont voici une traduction, prise sur un autre site orthodoxe, francophone, indiquant également la fête de saint Augustin le 15 juin :

    Célébrons le grand Augustin,
    Divin hiérarque de l'Église du Christ,
    Sage docteur et illustre théologien de la Cité Céleste,
    Amoureux de la prière et pilier du repentir,
    Car il intercède auprès du Seigneur afin que nos âmes en obtiennent abondante miséricorde.

    Αὐγουστῖνον τὸν μέγαν ἀνευφημήσωμεν, τὸν Ἱεράρχην τὸν θεῖον τῆς Ἐκκλησίας Χριστοῦ καὶ σοφὸν ὑφηγητήν· τῆς ἄνω πόλεως, τὸν θεολόγον τὸν κλεινὸν, προσευχῆς τὸν ἔραστὴν, καὶ στήλην τῆς μετανοίας· πρεσβεύει γὰρ τῷ Κυρίῳ, ἐλεηθῆναι τὰς ψυχὰς ἡμῶν.


    podcast

    Cathisme

    Ayant ardemment désiré la sagesse divine,
    et voulant t'en emplir,
    tu as affermi ton esprit dans les Parole de l'Esprit,
    Ô bienheureux sage, sondant les mystères cachés,
    arrosant divinement les sillons de l'âme,
    tel un arbre planté à la source des eaux, florissant par tes oeuvres,
    et portant le fruit de la contemplation, tu te révélas bienheureux,
    intercède auprès du Christ notre Dieu afin qu'Il accorde rémission des péchés à ceux qui célèbrent avec amour ta mémoire sacrée.

    Mégalinaire

    Chantons tous le hiérarque du Christ, fierté des théologiens, radieux réceptacle de l'Esprit, médiateur de ceux qui avec amour célèbrent sa mémoire.

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