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  • Un hommage inattendu

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    J’ai reçu aujourd'hui  le message ci-dessus. Malheureusement, comme n’importe qui peut inventer n’importe quelle adresse courriel, je ne peux pas être certain qu’il émane bien de Robert Badinter. Je ne peux que souligner un indice en ce sens : cela ne vient pas de Free, SFR, Gmail, etc. mais d’un mystérieux « fraternité.fr » (plus mystérieux encore lorsqu’on va voir le site fantôme qui correspond à cet intitulé).

    C’est donc sous toute réserve que je le reproduis, en espérant toutefois qu’il s’agisse bien de cette grande conscience planétaire, auquel cas je suis vraiment très sensible à un si vibrant et si magnifique hommage. (Encore que je ne voie pas que je parlerais si souvent des singes…)

    (On notera l’ironie du « Bien cordialement » ajouté automatiquement par HautetFort…)

  • Développer des liens humanistes pour un présent de paix et un avenir plein d'espérance...

    Autre enfilade de lieux communs maçonniques. On remarquera l’absence totale de propos religieux, même sous une forme « inter-religieuse ».

    Cité du Vatican, 5 septembre 2014 (VIS). Hier en conclusion de la troisième congrès mondial, le Pape s'est adressé aux délégués des Scholas Occurrentes, un réseau scolaire inter-religieux et multi-culturel d'insertion sociale, constitué à Buenos Aires lorsqu'il en était l'archevêque. Il a répondu en audiovision à des questions posées depuis la Turquie, Israël, l'Afrique du Sud, le Salvador et l'Australie, improvisant au final à l'attention des milliers de jeunes suivant l'audience à travers le monde. Dans ce discours, il a souligné l'importance de la culture de la rencontre.

    A savoir comment ce réseau pourrait favoriser la constitution de ponts entre les jeunes de tous pays, le Saint-Père a répondu à un jeune australien qu'il convenait de communiquer, d'échanger les expériences. Personne n'impose mais cela fonctionne grâce à la spontanéité, qui est un oui à la vie. Communiquer signifier donner, dans le respect et hors de toute discrimination.

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  • Une journée du livre d’Amitié Française et de Chrétienté

    Ce sera le dimanche 23 novembre. Organisée par l’AGRIF avec la collaboration du Centre Charlier.

    Au Forum de Grenelle, 5 rue de la Croix Nivert, 75015 Paris.

  • Une journée Louis Veuillot à Solesmes le 11 octobre

    SOLESMES,  SAMEDI 11 OCTOBRE 2014 :

    JOURNÉE LOUIS VEUILLOT

    À l’invitation du T. R. Père Abbé Dom Philippe Dupont et sous la présidence de Mgr Henri Brincard, évêque du Puy, une journée sera consacrée au grand journaliste Louis Veuillot (né le 11 octobre 1813), ami de Dom Guéranger et du Bienheureux Pie IX, pour le bout de l’an de son Bicentenaire.

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  • La Commission européenne a ses femmes…

    Alors que Jean-Claude Juncker a commencé mardi d’auditionner les candidats commissaires, la Belgique a proposé hier son candidat. C’était forcément une candidate : la Belgique ayant attendu le dernier moment, il n’était plus question de nommer Didier Reynders, puisque c’est un homme et qu’on manque cruellement de femmes. Donc, au lieu de nommer une personnalité de premier plan (Reynders, ministre des Affaires étrangères et du commerce extérieur dans le gouvernement démissionnaire, a été ministre des Finances de 1999 à 2011 dans six gouvernements différents…), on doit se rabattre sur une femme lambda qui siège discrètement au Parlement européen depuis 1991 et a été l’éphémère présidente de son parti qu’elle mena à la défaite…

    Et, au dernier moment, après la Belgique, la Roumanie, le couteau sous la gorge, a finalement présenté une femme également, Corina Cretu, dont le seul titre de gloire est semble-t-il d’avoir été un temps la maîtresse de Colin Powell. La Roumanie voulait que Dacian Ciolos demeure commissaire à l’Agriculture, mais il a fallu abandonner devant les exigences de la « parité » qu’on impose aux pays qui n’ont pas les moyens de répliquer…

    Bref, il y aura 9 femmes à la Commission, sur 27, ce qui n’est pas vraiment la parité mais était le minimum acceptable par le Parlement européen…

  • Ce qui est « invraisemblable », selon le juge

    La cour d'appel fédérale de Chicago juge à l'unanimité que l'interdiction des « mariages » homosexuels en vigueur dans l'Indiana et dans le Wisconsin enfreint le droit garanti par la Constitution à une égalité de protection des citoyens devant la loi. (Une fois encore, il ne s’agit pas d’interdiction de quoi que ce soit, mais de la reconnaissance que le mariage est entre un homme et une femme.)

    L’un des trois juges, Richard Posner, mérite de passer à la postérité pour son commentaire :

    « C'est totalement invraisemblable. Des couples hétérosexuels se saoulent et la femme tombe enceinte, ce qui aboutit à des enfants non désirés: on les récompense en les autorisant à se marier. Les couples homosexuels n'ont pas d'enfants non désirés: on les récompense en leur interdisant le droit de se marier. Allez comprendre. »

    Quel niveau, chez les magistrats fédéraux…

    Ce jugement est identique à celui d’autres cours fédérales. La Cour suprême devra prendre une décision lors de sa prochaine session, qui débute en octobre.

  • Encore un « blasphème » au Pakistan

    La justice pakistanaise a rejeté hier la demande de libération sous caution présentée par un chrétien, Naja Masih, qui est en prison pour « blasphème ». Agent d’entretien dans une école de Bahawalpur, dans le Pendjab, il a été accusé d’avoir insulté l’islam et le Coran par un coiffeur musulman qui a porté plainte. Naja Masih a été arrêté et jeté en prison avant toute enquête. Selon les témoins, les deux hommes parlaient de religion, le 23 août dernier, et le musulman n’a pas apprécié la façon dont Naja Masih parlait de Lot... (Pourtant le Coran ne fait que recopier l’essentiel de l’histoire biblique, en omettant toutefois l’épisode de la caverne où les deux filles font boire leur père et couchent avec leur père pour lui assurer une descendance : c’est sans doute cela que ne supportent pas les musulmans…)

    Sa femme Nargis Bibi et ses enfants ont été obligés de quitter le village où ils habitaient et de se cacher…

  • Au Nigeria comme en Irak

    Plus de 30.000 personnes se trouvent dans une situation humanitaire grave à la frontière entre le Nigeria et le Cameroun. Il s’agit en grande partie de ressortissants nigérians ayant fui devant l’avancée de Boko Haram.

    Les témoignages des habitants ayant fui en masse la ville de Kerawa, dans l’Etat nigérian de Borno, sont terrifiants : les hommes de Boko Haram ont égorgé au moins 60 personnes, en grande partie des chrétiens et des militaires. De l’autre côté de la frontière, la ville camerounaise homonyme de Kerawa a été à son tour attaquée et ses habitants se sont enfuis, se réfugiant dans la ville de Kolofata. Dans cette cité, se sont concentrés les chrétiens ayant fui les localités voisines du Nigeria, suivis par les musulmans qui ont fui Gwoza.

    « Ce qui se passe actuellement dans le nord-est du Nigeria est très semblable à ce qui s’est passé récemment dans le nord de l’Irak » déclare à l’Agence Fides le Père Patrick Tor Alumuku, Directeur des communications de l’archidiocèse d’Abuja.

    Le Père Tor Alumuku rappelle que le financement de Boko Haram vient (aussi) de la péninsule arabique, via AQMI, qui fournit des armes volées dans les arsenaux libyens ainsi que des combattants entraînés. Il ajoute : « Les groupes jihadistes chassés par les forces françaises du Mali l’an dernier, se sont rendus au nord du Nigeria pour grossir les rangs de Boko Haram. » Et aussi : « Le Nigeria constitue un objectif fondamental parce qu’il est l’un des pays comptant le plus grand nombre de musulmans au monde. Sur 170 millions d’habitants, près de la moitié sont des musulmans. Les extrémistes espèrent y trouver une base forte à partir de laquelle lancer l’attaque contre d’autres pays d’Afrique. »

  • L’intolérance monte en Inde

    Des parents d’élèves ont manifesté devant la Mariambika English School, l’école syro-malabar catholique de Indabettu, dans le Kerala en Inde. Il a fallu l’intervention de la police pour empêcher que l’émeute dégénère, et des cars de police sont restés en faction près de l’école.

    Le motif de cette subite colère est le logo qui a été apposé sur les uniformes des élèves : on y voit la Sainte Vierge avec son Fils portant une croix comme un étendard.

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    L’accusation d’avoir « christianisé » les uniformes de l’école catholique vient évidemment des Hindous extrémistes qui ont le vent en poupe depuis l’élection à la présidence de l’Inde de l’un de leurs amis, et qui multiplient depuis lors les actes d’intimidation contre les chrétiens.

    Les manifestants n’ont accepté d’arrêter le siège de l’école qu’à partir du moment où la direction de l’école a accepté de suspendre le port du nouvel uniforme jusqu’à nouvel examen de la question.

    A la suite de l’article de Daijiworld, qui publie aussi des photos, on peut prendre connaissance de nombreuses réactions de bon sens : en quoi est-ce qu’il serait scandaleux qu’une école catholique ait un logo catholique, qui est en outre une simple illustration de son nom ? Si vous n’êtes pas content allez voir ailleurs : personne n’est obligé de mettre ses enfants à l’école catholique, etc.

  • Décadence

    Pour la première fois, les lobbies homosexuels vont pouvoir défiler à New York pour la Saint-Patrick.

    L’année dernière, le maire avait condamné cette « exclusion » pratiquée par les organisateurs, et surtout Guinness et Heineken avaient refusé de sponsoriser la parade…

    Donc pour avoir les sous on fait parader des gens dont les pratiques sexuelles et le comportement sont contraires à tout ce que représente saint Patrick.

    Bien entendu, le très « gay friendly » cardinal Dolan, archevêque de New York, dit n’avoir « aucun problème avec cette décision », qui est « sage » (sic). Le cardinal Dolan sera cette année le « grand marshal » qui conduit la parade dans la 5e Avenue…

    On constate en revanche que Boston résiste. Les organisateurs rappellent qu’en 1995 la Cour suprême leur a donné raison, disant qu’ils avaient le droit d’exclure des participants dont ils rejettent le « message ».