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  • Pause

    D'une dizaine de jours.

     

    N.B. - A propos du Salon Beige voir ici, et son site de secours.

  • La provocation d’Annecy

    La ville d’Annecy avait organisé le « carnaval des enfants » le 18 avril : le Vendredi Saint. Les deux nouveaux élus de la liste « Annecy pour la vie » ont alerté le maire, qui a décidé d’annuler ce « carnaval ».

    Bien entendu, toute la gauche et tous les lobbies laïcards ont hurlé que c’était une atteinte intolérable à la laïcité. Et une grande manifestation a été organisée devant la mairie par le NPA, la Ligue des droits de l’homme et la Libre Pensée. On peut en voir la photo ici : il y avait moins de 20 personnes…

    On aurait pu penser que l’évêque, interrogé par le journal local, aurait saisi l’occasion pour saluer l’action d’élus qui font respecter le caractère sacré du Vendredi Saint. Eh bien pas du tout. L’évêque les désavoue implicitement, considère que l’organisation de cette fête le Vendredi Saint résulte d’une simple ignorance « cuturelle », et souligne qu’il répond parce qu’on lui pose la question mais qu’il n’aurait certainement pas réagi spontanément si le « carnaval » avait eu lieu.

    Il vaut mieux ne pas avoir d’évêque qu’un évêque comme cela. (Il s’appelle Yves Boivineau et il n’a que 67 ans.)

  • Deux provocations islamiques

    On y est désormais tellement habitués qu’on n’y fait plus attention. Mais c’est une provocation qui revient chaque année : l’UOIF organise son grand rassemblement à Pâques. Joachim Veliocas y est allé, et il a pu constater que, bien entendu, on trouvait « le jihad à tous les étals », avec la bénédiction du gouvernement.

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    A la collégiale de Dole, pendant la messe de Pâques, un homme revêtu d’une djellaba et d’une coiffe  a installé un tapis près de l’autel et a lu des versets du Coran. Puis il a écrit quelques mots sur le registre paroissial. Le sous-préfet a tenu à rassurer la population : « Il ne faut pas créer d’amalgame. Cette attitude déplacée est le fait d’un individu visiblement perturbé. »

    Si peu « visiblement perturbé » que son écriture est posée et parfaitement régulière, ne trahissant aucune émotion. Et comme le souligne l’Observatoire de l’islamisation, l’homme a écrit la sourate 112. Non pas « un extrait », comme dit l'Observatoire, mais la sourate entière, qui n’a que quatre très brefs versets :

    Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Dis : Il est Allah, Unique (1). Allah, le Seul à être imploré pour ce que nous désirons (2). Il n’a jamais engendré, n’a pas été engendré non plus (3). Et nul n’est égal à Lui (4).

    Cette sourate s’appelle « Le monothéisme pur ». Elle est purement… antichrétienne.

  • La provocation des Femen

    Les Femen ont organisé le dimanche de Pâques une fête pour « l’inauguration » de « leurs » locaux. Des locaux qu’elles occupent depuis novembre…

    L’affiche montrait un diable femelle à trois seins en spirales fouettant les postérieurs d’un prêtre, d’un rabbin et d’un imam. Le texte disait : « Messe sataniste, bûcher de merguez, coups de fouets, débats infernaux, musique païenne et blasphème à tous les étages: gagnez votre ticket pour l'enfer en pénétrant dans l'antre des sorcières! »

    La fête s’est déroulée sous haute protection policière, en raison des réactions que cette invitation a suscitées. Le commissaire de police de Clichy s’est déplacé en personne pour s’assurer que la protection des sectaires sataniques serait efficace.

    Est-il besoin de préciser que les Femen squattent un local sans le moindre titre, et qu’elles sont sous le coup d’une procédure d’expulsion ?

  • Lundi de Pâques

    Dans son superbe livre sur les « pèlerins d’Emmaüs », qui est l’évangile de ce jour, sœur Jeanne d’Arc faisait notamment état d’une grande « inclusion » couvrant l’ensemble de ce passage, Luc 24 (1-12) 13-35. Voici les deux « dépliants » (cliquer pour les agrandir) qui sont ajoutés au livre et dont le second permet de voir l’inclusion d’un seul coup d’œil. Et de la préciser ensuite avec le texte évangélique reproduit dans le premier, avec les lettres qui permettent de passer de l’un à l’autre.

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    Ce qui est impressionnant dans cette découverte est bien sûr qu’au centre de l’inclusion se trouve le kérygme, et que ce ne peut donc pas être un hasard.

    Sœur Jeanne d’Arc précisait à propos du dépliant II :

    « Les corrélations ici proposées sont plus ou moins sûres, plus ou moins évidentes. La typographie essaie de rendre le degré de certitude :

    JÉRUSALEM : le même mot à la même place, irrécusable.

    ANNONCÈRENT : les mots sont différents, il entre donc une part plus ou moins grande d’appréciation.

    Dialogue : le mot n’est pas dans le texte. »

    En outre, l’inclusion est elle-même incluse dans le plan rigoureux de ce passage :

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    (En 2010 j’avais reproduit un bref extrait de ce même livre, publié au Cerf en 1977.)

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