Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Assez de cette hypocrisie monstrueuse et criminelle !

    Un imam tunisien (l’ancien imam de la célèbre mosquée Omar du XIe arrondissement de Paris) a été expulsé vers la Tunisie parce que, selon un communiqué du ministère de l’Intérieur, il a « valorisé le djihad violent, proféré des propos antisémites et justifié le recours à la violence et aux châtiments corporels contre les femmes ».

    Il y avait l’eau qui mouille et le feu qui brûle, Manuel Valls invente le « djihad violent ». Lequel jihad se trouve partout dans le Coran, comme une obligation pour tout musulman. Il en est de même des « propos antisémites » et des « châtiments corporels contre les femmes ». C’est dans le Coran et les Hadiths.

    C’est pourquoi le propos de Manuel Valls au Sénat est particulièrement grotesque :

    « Il ne peut pas y avoir de place dans la République, dans notre pays pour ces discours qui salissent l'islam de France, deuxième religion de notre pays qui a toute sa place dans notre pays. »

    Les propos qui « salissent l'islam de France », ils sont dans le Coran et les Hadiths. Ce sont des fondamentaux de l’islam.

    Il y en a assez de cette hypocrisie. Assez de mentir sur la réalité de l’islam. Assez de faire semblant de croire aux pieux mensonges des responsables musulmans sur « la religion de paix, d’amour et de tolérance compatible avec les valeurs de la République ». Assez de ces propos insensés selon lesquels l’idéologie du Coran a toute sa place en France mais les imams qui l’enseignent ouvertement doivent être expulsés.

    Et pendant ce temps-là il y a Taubira Gribouille qui annonce le recrutement de davantage d'aumôniers musulmans pour lutter contre le prosélytisme islamiste dans les prisons. Des aumôniers qui distribueront le Coran qui appelle au jihad, au meurtre des chrétiens et des juifs, et à considérer la femme au mieux comme un champ qu’on laboure quand on en a envie…

    Vraiment, ça suffit. Qu’ils regardent enfin la réalité en face, ou, qu’au moins, ils se taisent.

  • Le Royaume Uni et l’UE

    « La position qu’adoptent de nombreuses personnalités politiques, tant de gauche que de droite, en faveur d’une adhésion molle à l’UE ne pourra tout simplement pas continuer à exister. Le statu quo ne peut tenir longtemps. Nous pouvons ou bien nous joindre au projet de l’euro, avec tout ce qui s’ensuit, ou bien nous devons commencer à penser à une vie en dehors de l’UE. »

    Le propos est de Gisela Stuart, député travailliste, dans le Times, et c’est un bon résumé de la situation. Or il y a une vie en dehors de l’UE, et ce serait bien que les Anglais nous le montrent.

  • Tenir jusqu’en… 2023

    Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdoğan est en visite à Berlin, où il a inauguré la nouvelle ambassade turque avant de rencontrer Angela Merkel. Lors d’un débat, mardi soir, on lui a demandé si la Turquie serait membre de l’UE en 2023 (pour le centenaire de la République de Turquie). Il a répondu : « Ils ne vont sans doute pas nous bercer d’illusions aussi longtemps. Mais s’ils le font jusque-là, alors l’UE sera perdante, et à tout le moins ils perdront la Turquie. »

    Au lieu de se réjouir de cette bonne déclaration, le ministre allemand des Affaires étrangères Guido Westerwelle a déclaré : « C’est mauvais pour les deux parties, et l’année prochaine nous voulons prendre un nouveau départ pour surmonter cette impasse. » Avec François Hollande ? Celui-ci a toujours esquivé la question.

  • Afghanistan : on prépare la suite…

    L’Arabie saoudite va construire à Kaboul un centre islamique géant comprenant notamment une gigantesque mosquée sur le modèle de celle déjà construite à Islamabad au Pakistan (elle peut accueillir jusqu’à 15.000 personnes), et une « université » pour 5.000 « étudiants » (rappelons que le mot étudiants se dit taliban en arabe). L’Arabie saoudite s’occupe du projet, de la construction, et de son financement : 100 millions de dollars.

    L’annonce a été faite lundi par le vice-ministre saoudien des Affaires religieuses, qui parle d’un projet « unique en son genre ». Le centre sera géré conjointement par les ministères des Affaires religieuses des deux Etats.

    L’Arabie saoudite est l’un des trois pays qui avaient reconnu le régime des talibans en 1996.

  • Chez les coptes

    Les coptes sont invités à observer trois jours de jeûne, à partir d’aujourd’hui, avant la messe du 4 novembre en la cathédrale Saint-Marc du Caire au cours de laquelle sera élu le patriarche qui doit remplacer Chenouda III mort en mars dernier.

    Lundi, un collège de près de 2.500 clercs et laïcs ont voté pour choisir les trois finalistes parmi les cinq candidats. Il s’agit de l’évêque Raphaël, 54 ans, responsable des églises du centre du Caire, de l’évêque Tawadros, 60 ans, de la province de Beheira, dans le delta du Nil, et du père Raphaël Ava Mina, 70 ans. Leurs noms seront écrits sur des morceaux de papier qui seront enfermés dans une boîte placée devant l’autel de la cathédrale. Le 4 novembre, un petit garçon aux yeux bandés sera chargé de tirer au sort le nom de celui qui deviendra le 118e “Pape d’Alexandrie, Patriarche de toute l’Afrique et du siège de Saint Marc”.

    Le secrétaire du conseil des affaires administratives de l’Eglise copte, Kamil Seddiq, souligne que cette élection arrive à un moment où les coptes sont victimes de violences et discriminations accrues : « La Bible est brûlée et la police n’intervient pas. Il est temps que le Président Morsi démontre qu’il est le président de tous les égyptiens par des actes et non pas seulement au travers des paroles. » Des incidents ont été signalés au mois d’octobre à Alexandrie, à Dahshur et à Rafah. Dimanche denier, cinq coptes ont été blessés dans le cadre de violents affrontements près d’une église au sud du Caire, affrontements ayant éclaté lorsqu’un certain nombre d’extrémistes musulmans ont cherché à empêcher les coptes de se rendre à la messe.

     

  • Ioustos

    Ayant entrepris de lire les Actes des apôtres en grec, je fais une étonnante découverte. Lorsqu’il s’agit d’élire un apôtre en remplacement de Judas, il y a deux candidats, le premier étant Joseph, qu’on appelle Barsabas (ou Barsabbas, ou Barnabas), et dont le surnom est « le Juste » (Actes 1, 23). Dans le latin de la Vulgate, c’est, très normalement, « Justus ». Mais dans le texte grec, c’est… « Ioustos ». Or Ioustos n’est pas un mot grec. C’est la simple transcription du latin Justus.

    Et il y a deux autres juifs dans le Nouveau Testament qui sont surnommés « Ioustos », donc le Juste, en latin : un homme chez qui va saint Paul à Corinthe (Actes 18, 7). Mieux même, dans la Vulgate et dans les manuscrits grecs retenus dans l’édition Merck, ce juif s’appelle Titus (en grec Titios) Justus. Titus aussi est un nom latin.

    Le troisième est un homme qui s’appelle Jésus et qui salue les Colossiens avec saint Paul (Colossiens 4, 11).

    Il en ressort que le latin n’était pas seulement la langue de l’occupant.

    Mais serait-il vraisemblable que les juifs de l’époque parlassent araméen, grec (comme tout le monde dans le bassin méditerranéen)… et latin ?

    J’avais lu dans une histoire de Pologne que les juifs de Lituanie parlaient yiddish, lituanien et polonais (trois langues qui n’ont aucun point commun)…

  • De la férie

    Psaume 7 (3)

    Nisi convérsi fuéritis, gládium suum vibrábit ; * arcum suum teténdit, et parávit illum.

    Et in eo parávit vasa mortis ; * sagíttas suas ardéntibus effécit.

    Ecce, partúriit injustítiam ; * concépit dolórem, et péperit iniquitátem.

    Lacum apéruit, et effódit eum, * et íncidit in fóveam quam fecit.

    Convertétur dolor ejus in caput ejus, * et in vérticem ipsíus iníquitas ejus descéndet.

    Confitébor Dómino secúndum justítiam ejus, * et psallam nómini Dómini altíssimi.

    Glória Patri, et Fílio, * et Spirítui Sancto,

    Sicut erat in princípio, et nunc, et semper, * et in sǽcula sæculórum. Amen.

    Si vous ne vous convertissez pas, il brandira son glaive ; il a tendu son arc, et l’a préparé.

    Et en lui il a préparé des instruments de mort, il a fabriqué ses flèches pour ceux qui brûlent.

    Voici qu’il (2) a mis au monde l’injustice ; il a conçu la douleur, et a enfanté l’iniquité.

    Il a ouvert une fosse, et l’a creusée, et il est tombé dans le piège qu’il a fait.

    Sa douleur retournera sur sa tête, et son iniquité descendra sur le sommet de son crâne.

    Je confesserai le Seigneur selon sa justice, et je chanterai le nom du Seigneur très-haut.

    (2) Un exemple de brusque changement de sujet dans les pssaumes : il s’agit ici du pécheur, et non plus de Dieu.

  • Chez Auchan : Au nom d’Allah…

    aidfauxmoutauchan.png

    Il paraît que les moutons vendus par Auchan pour l’Aïd n’étaient pas halal.

    Mais le "Bismillah" de l’affiche (en haut à gauche et en bas à droite) était tout ce qu’il y a de plus authentique. Auchan s’adressait à ses clients « au nom d’Allah le très miséricordieux le tout miséricordieux »…

  • Une sixième paroisse en Mongolie

    Dimanche, le préfet apostolique d'Oulan-Bator, Mgr Wensceslao Padilla, a inauguré la sixième paroisse du pays, dans le cadre des manifestations célébrant les vingt ans d’existence de l’Eglise catholique de Mongolie. Dans sa Lettre pastorale publiée à l’occasion de cette année de célébration, Mgr Padilla a rappelé l’épopée de la petite communauté catholique créée ex nihilo et « constituée à l’origine de zéro catholique, pour compter maintenant plus de 835 frères et sœurs mongols dans la foi, sans compter tous ceux qui se préparent au baptême ».

    Toutefois, cette nouvelle paroisse est la quatrième de la capitale Oulan-Bator, alors que dans l’ensemble du pays l’apostolat catholique est de plus en plus difficile. Ainsi, dans la Province centrale, où les Sœurs de St-Paul-de-Chartres dirigent une école depuis une quinzaine d'année, elles ne se voient toujours pas autorisées à faire établir un lieu de culte, malgré les nombreuses demandes des chrétiens de la région.


  • Le droit de ne pas émigrer

    Extrait du message de Benoît XVI pour la Journée 2013 (sic) du migrant :

    Certes, chaque Etat a le droit de réguler les flux migratoires et de mettre en œuvre des politiques dictées par les exigences générales du bien commun, mais toujours en garantissant le respect de la dignité de chaque personne humaine. Le droit de la personne à émigrer – comme le rappelle la Constitution conciliaire Gaudium et spes au n. 65 - est inscrit au nombre des droits humains fondamentaux, avec la faculté pour chacun de s’établir là où il l’estime le plus opportun pour une meilleure réalisation de ses capacités, de ses aspirations et de ses projets. Dans le contexte sociopolitique actuel, cependant, avant même le droit d’émigrer, il faut réaffirmer le droit de ne pas émigrer, c’est-à-dire d’être en condition de demeurer sur sa propre terre, répétant avec le Bienheureux Jean-Paul II que « le droit primordial de l’homme est de vivre dans sa patrie : droit qui ne devient toutefois effectif que si l’on tient constamment sous contrôle les facteurs qui poussent à l’émigration » (Discours au IVème Congrès mondial des Migrations, 1998).