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Rechercher : Ruth

  • Ruth Bader Ginsburg

    Lors des examens médicaux qui ont été faits après sa chute du 7 novembre, on a trouvé des nodules cancéreux dans un poumon de Ruth Bader Ginsburg. Elle vient donc d’être opérée de ces nodules et l’on nous affirme qu’il n’y en a pas d’autre signe de la maladie ailleurs.

    La peur s’est de nouveau emparée du monde des idéologies de la décadence et de la culture de mort. Les messages d’affliction ont submergé les réseaux sociaux, certains étant prêts à donner un poumon pour sauver la vieille harpie : si elle meurt, Donald Trump va nommer un juge qui ne jugera pas selon ces idéologies.

    A cette occasion j’apprends que lorsqu’on lui demande si elle est satisfaite du nombre de femmes à la Cour suprême (trois sur neuf), elle répond qu’elle le sera quand il y en aura neuf…

    Mais une fois qu’on aura éliminé les hommes, il faudra éliminer les femmes qui ne sont pas assez à gauche…

  • Ruth Bader Ginsburg

    Ruth Bader Ginsburg, 85 ans, juge à la Cour suprême des Etats-Unis, fanatique de la subversion morale et de la culture de mort, est tombée mercredi soir, et a été hospitalisée hier matin : elle a trois côtes cassées.

    Selon son neveu elle est en pleine forme, elle est debout, plaisante et travaille…

    Ruth Bader Ginsburg a eu un cancer du pancréas et un cancer du colon. Ce qui la fait vivre est sa haine de tout ce qui ressemble à la loi naturelle ou à la morale chrétienne, décuplée par sa haine de Donald Trump. Cet été elle a déclaré qu’elle se voyait encore à la Cour suprême au moins pendant cinq ans (sous-entendu jusqu’à ce que Trump soit remplacé par un président démocrate qui lui trouvera un successeur).

    Addendum 17h30

    Et elle est déjà sortie de l'hôpital...

  • Encore raté...

    Kathleen Arberg, porte-parole de la Cour suprême des Etats-Unis, nous apprend que Ruth Bader Ginsburg a subi pendant trois semaines des séances de radiothérapie dans un institut d'oncologie à New York pour un (nouveau) cancer du pancréas.

    Le cancer du pancréas est presque toujours mortel. Mais Ruth Bader Ginsburg peut en avoir à répétition… « La tumeur a été détruite de façon permanente et il ne reste aucune trace de maladie dans le corps. »

  • Ah non, monseigneur…

    J’ai la grâce d’avoir un des meilleurs évêques de France – sur tous les plans. Il ne m’étonne donc pas qu’il ait publié aussi un très bon message pour la veillée pour la vie.

    Mais voilà que, soulignant que la généalogie de Jésus nous montre le Sauveur « issu d’une humanité misérable et pécheresse, comme nous aujourd’hui », il écrit : « Thamar, Rahab et Ruth n’étaient-elles pas adultères ? »

    Désolé, monseigneur, mais je me dois de défendre l’honneur de Ruth. Non seulement elle n’était pas adultère, mais elle était digne de tous les éloges. "Car tout le peuple de cette ville sait que tu es une femme vertueuse" (3, 11).

    Ruth n’est pas citée comme pécheresse, mais comme étrangère, car elle était moabite, et elle n’aurait donc pas dû se trouver parmi les ancêtres du Seigneur selon la loi de « pureté » du peuple hébreu.

  • L’ignoble

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    Ruth Bader Ginsburg, juge à la Cour suprême des Etats-Unis, et donc soumise au devoir de réserve sur le plan politique, s'est livrée à une tirade contre Donald Trump sur CNN en le traitant d’« imposteur ».

    Le prochain président des Etats-Unis devra nommer un juge à la Cour suprême pour remplacer l’excellent juge catholique pro-vie Antonin Scalia récemment décédé. Et Donald Trump a dit qu’il fallait quelqu’un comme Scalia. Ruth Bader Ginsburg déclare au New York Times :

    Je me refuse à imaginer ce que l'on deviendrait - ce que ce pays deviendrait - si Donald Trump était président. Pour le pays, cela pourrait être l'affaire de quatre ans. Pour la Cour, cela pourrait... je ne veux même pas l'envisager.

    « Le juge Ginsburg de la Cour suprême nous a plongés dans l'embarras avec ses déclarations stupides à mon sujet. Elle a perdu la tête. Qu'elle démissionne ! », a réagi Donald Trump.

    Même chez les adversaires de Trump, la sortie de Ruth Bader Ginsburg ne passe pas. Car ce n’est pas ce qu’on attend d’un juge à la Cour suprême.

    Mais Ruth Bader Ginsburg n’est pas un juge. C’est une militante acharnée de l’avortement et des "droits" LGBT. Et à 83 ans elle continue son travail infernal au service de la culture de mort et de la subversion. Au point d’interférer dans la campagne électorale en violant la déontologie de l’institution suprême des Etats-Unis.

    Addendum

    Désavouée même par la gauche, Ruth Bader Ginsburg a publié cet après-midi un communiqué où elle déclare :

    A la réflexion, mes récentes remarques en réponse à des questions de la presse étaient malavisées, et je regrette de les avoir faites. Les juges doivent éviter de faire des commentaires sur les candidats aux postes de la fonction publique. A l’avenir je serai plus circonspecte.

    On remarque qu’elle ne regrette pas ce qu’elle a dit, mais de l’avoir dit. Malavisé, c’est « mal à propos et sans y prendre garde ». Elle ne retire donc rien de ses insultes, elle avoue seulement, face au tollé, que ce n’était pas son rôle de les dire. Quant à l’avenir, on n’espère pas franchement qu’elle en ait un, circonspect ou non, mais que Donald Trump soit élu et ait d’emblée deux juges à nommer à la Cour suprême.

  • Cour suprême

    Donald Trump a déclaré qu’il annoncera la semaine prochaine son choix pour remplacer le regretté Antonin Scalia à la Cour suprême :

    « Je prendrai ma décision cette semaine, nous l'annoncerons la semaine prochaine, nous avons des candidats exceptionnels et nous choisirons un juge de la Cour suprême vraiment extraordinaire. »

    Ce qui m’inquiète est que la vieille et malade Ruth Bader Ginsburg n’ait pas eu de crise cardiaque après l’élection de Trump, elle qui « se refusait à imaginer ce que ce pays deviendrait si Donald Trump était président ». Finalement elle veut voir ce qu’il deviendra avant de mourir… Mais il faudrait que Trump nomme deux juges pour que la Cour suprême devienne le suprême instrument pro-vie, pro-famille, etc.

  • Comment elle va renverser l’arrêt sur l’avortement

    « Comment Amy Coney Barrett va utiliser la science et les principes juridiques pour renverser Roe contre Wade ». C’est le titre d’un article de Steven Mosher sur son blog abrité par Life Site.

    Les militants américains de la culture de mort pensent que l’arrêt Roe contre Wade ne peut pas être renversé, en vertu du principe de « stare decisis » : l’arrêt d’une juridiction supérieure a force de loi et fait absolument jurisprudence. A plus forte raison quand c’est la Cour suprême.

    Sauf si. Sauf si l’arrêt est entaché de ce que les Américains appellent « judicial overreach » : abus de droit, décision outrepassant les règles du droit.

    Or. Or Ruth Bader Ginsburg elle-même a laissé entendre que l’arrêt Roe contre Wade était dans ce cas.

    Ruth Bader Ginsburg est entrée à la Cour suprême en 1993, l’année du 20e anniversaire de Roe contre Wade. A cette occasion, dans une allocution devant les étudiants de la faculté de droit de l’université de New York, elle déclara que la Cour suprême aurait dû s’en tenir à la question qui lui était posée, à savoir la constitutionnalité de la loi texane contre l’avortement, et non saisir l’occasion pour traiter en fait de toutes les lois de tous les Etats sur l’avortement. Ce qui est donc typiquement un cas de « judicial overreach ».

    Ce n’est certes pas que Ruth Bader Ginsburg fût opposée au « droit à l’avortement ». Mais elle considérait que la Cour suprême s’était substituée au processus démocratique, qu’elle avait créé des règles qui remplaçaient pratiquement toutes les lois des Etats en vigueur, et qu’un arrêt « moins englobant, qui aurait seulement renversé la loi extrémiste du Texas, qui ne serait pas allé plus loin ce jour-là, je crois, aurait pu servir à réduire plutôt qu’à alimenter la controverse ». Ainsi, disait-elle, Roe contre Wade a arrêté un processus politique (en faveur du droit à l’avortement) qui évoluait dans la bonne direction et aurait abouti à un vrai règlement de la question…

    Quoi qu’il en soit de cette très hasardeuse prospective (d’autant que pour elle le règlement définitif était l’avortement au cours des trois premiers mois), le fait est que la Cour suprême s’était clairement rendue coupable, selon son propre raisonnement, de « judicial overreach ».

    Amy Coney Barrett, quant à elle, soulignait en 2013 (40e anniversaire de Roe contre Wade) à l’Université Notre-Dame, que le raisonnement de la Cour suprême avait « essentiellement permis l’avortement sur demande », ce qui était un abus, quoi qu’on pense du statut du fœtus.

    Et, dans quatre articles différents, elle a traité de l’objection du « stare decisis », montrant que ce principe peut entrer en contradiction avec la lecture littéraliste de la Constitution, et peut même enfreindre la clause de procédure régulière.

    Bref, le processus de renversement de Roe contre Wade est déjà virtuellement en place, et en partie grâce à Ruth Bader Ginsburg, tant il est vrai que parfois le diable porte pierre…

  • Adonai Domine Deus magne et mirabilis

    ℟. Adonai Domine Deus magne et mirabilis, qui dedisti salutem in manu feminae: * Exaudi preces servorum tuorum.
    ℣. Benedictus es Domine, qui non derelinquis præsumentes de te, et de sua virtute gloriantes humilias.
    ℟. Exaudi preces servorum tuorum.

    Adonaï, Seigneur Dieu, grand et merveilleux, qui a apporté le salut par la main d’une femme, exauce les prières de tes serviteurs. Tu es béni, Seigneur, toi qui n’abandonnes pas ceux qui présument de toi, et qui humilie ceux qui se glorifient de leur puissance ; exauce les prières de tes serviteurs.

    La première partie du répons semble provenir d’une ancienne version latine du livre de Judith. On y retrouve plus ou moins des éléments des versets 7 et 16 du chapitre 16 selon la Vulgate. Mais la deuxième partie du répons est une formule ecclésiastique, et le verset est tiré du verset 15 du chapitre 6 de Judith selon la Vulgate. Le répons existe comme antienne, au Magnificat des vêpres de samedi dernier, et comme antienne des Rogations dans l’ancienne liturgie gallicane, d’où la conclusion « Exaudi preces servorum tuorum ». Le répons serait donc constitué d’une antienne gallicane, à laquelle on ajouta un verset tiré de la Vulgate (cf. l’étude de Ruth Steiner).

  • Cachez ce Colomb…

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    L’université Notre-Dame, dans l’Indiana, a décidé de participer au mouvement d’effacement de la mémoire de Christophe Colomb qui parcourt toute l’Amérique politiquement correcte depuis quelque temps. Il y a dans le bâtiment principal douze peintures de la fin du XIXe siècle sur la vie de Christophe Colomb. Elles vont être recouvertes, parce qu’elles véhiculent des stéréotypes outrageants pour les Amérindiens et font fi des horreurs du colonialisme...

    Amis de l’anachronisme bonjour. En fait il est temps d’avouer que Christophe Colomb n’a jamais existé, que les blancs sont des peaux-rouges qui ont perdu leur couleur, et les noirs des peaux-rouges bronzés.

    La très prestigieuse université Notre-Dame, qui s’appelle toujours ainsi, en français, est toujours dirigée par les Pères de Sainte-Croix (venus du Mans en 1842). Le directeur est le P. John Jenkins. Il avait invité Obama à prononcer une allocution en 2009, puis Ruth Ginsburg, puis avait honoré de la Laetare Medal (la plus haute distinction catholique américaine) le vice-président Biden, autre militant de la culture de mort. Pour le P. John Jenkins, la création d’un groupe LGBT dans l’université a été « un grand pas en avant » ; mais il a refusé la création d’un groupe dédié au mariage chrétien.

  • Le juge Roberts

    Aujourd’hui, le juge John Roberts a penché du bon côté. Dommage que ce ne soit pas dans une décision qui concerne la défense de la vie. Il s’agit toutefois des libertés scolaires.

    La Cour suprême des Etats-Unis a décidé par 5 voix contre 4 qu’une mère du Montana avait eu raison de protester contre la suppression de la bourse d’études à ses filles, alors que la cour suprême du Montana lui avait donné tort.

    La bourse en question était financée par un système de crédit d’impôts. La cour suprême du Montana l’a annulée, sur le fondement de l’amendement Blaine (introduit dans les constitutions de 37 Etats) qui interdit de financer les écoles confessionnelles (en fait tout ce qui est confessionnel).

    Le jugement, rédigé par John Roberts, fait valoir que c’est aux Etats de décider s’ils subventionnent ou non les écoles privées, mais que s’ils le font ils ne peuvent pas user de discrimination entre les unes et les autres sur le fondement de croyances religieuses.

    Il en résulte que les quatre juges « dissidents », qui sont les fanatiques de la culture de mort (Ruth Bader Ginsburg, Stephen Breyer, Elena Kagan, Sonia Sotomayor) sont également, et ouvertement, en faveur de la discrimination contre les chrétiens.

    Cette décision est plus importante qu’elle ne le paraît. Elle est une victoire majeure de ceux qui se battent contre l’amendement Blaine. Ironie de l’histoire, ce sont les évangéliques qui mènent ce combat (comme dans le Montana), alors que ce sont leurs ancêtres qui voulurent imposer l’amendement dans la Constitution des Etats-Unis en 1875 pour contrer la progression de l’Eglise catholique (il s’en fallut de 4 voix au Sénat, alors que le texte avait été adopté par 180 voix contre 7 par les députés)…